Début février se tenait à Nuremberg en Allemagne le plus grand salon professionnel au monde consacré au jeu et au jouet. Hammer s’est rendu sur place pour une visite exclusive de cet événement fermé au grand public.
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Musiques (Licence Creative Commons) :
- Inspiring Journey – Auteur : Leo Sokolovsky
- Spark – Auteur : Vexento
- Synthwave Vibe – Auteur : Meydän
- Dystopia – Auteur : Luke Hall
Où Hammer vous en apprend un peu plus sur l’historique du salon et sur la ville de Nuremberg…
C’est dans le hall 10 que se retrouvent la plupart des exposants liés au jeu de société.
Une interview de Matthieu Lanvin de Blue Orange pour parler du salon et des nouveautés de l’année chez l’éditeur mussipontain.
Suite des déambulations, à l’étage du dessus.
Papotage avec Manon et Bruno chez Ludonaute. On parle business, et un peu des prochains jeux…
Discussion avec Matthieu d’Epenoux de Cocktail Games autour de l’importance du salon de Nuremberg, et des prochaines sorties de jeux d’auteurs et d’autrices japonais chez l’éditeur versaillais.
Dans le hall 9 c’est un déferlement de déguisements, de ballons, de cotillons, de feux d’artifice…
Arrêt au stand Helvetiq pour parler avec Hadi Barkat des gammes de jeux et aussi des activités de publication de livres, que l’on connait moins parmi le public de Proxi-Jeux.
Où Hammer se laisse aller à des commentaires en continuant d’observer les différents stands du salon…
Dans le hall 7, rien à voir avec le jeu de société, mais des jeux et jouets d’extérieur, ou à thème « sportif ».
On s’assoit avec Gaëtan Beaujannot pour apprendre à connaître Instaplay, une société de service aux éditeurs qui les aide notamment à se développer sur les marchés étrangers.
On rencontre Patrick de chez Oya, éditeur parisien présent pour la première fois à Nuremberg. On apprend aussi qu’on peut trouver moult ivrognes dans les musées européens (mais c’est pour la bonne cause).
Un hall 11 qui rassemble plein de fabricants asiatiques en un même lieu.
Petite discussion avec Shane Hartley, directeur créatif chez Ravensburger pour tenter d’en apprendre un peu plus sur le futur jeu de cartes à collectionner propulsé par l’éditeur allemand : Disney Lorcana.
Où Hammer dresse le bilan de sa visite d’une journée à Nuremberg et donne ses impressions sur ce salon professionnel qui n’inspire pas forcément « le fun ».
Bravo Hammer,
Reportage de grande qualité sur un salon dont je ne connaissais rien que le nom.
Plusieurs facettes présentées, des entretiens avec des personnes plus ou moins ludiquement renommées, c’est super.
La prise de son et le montage sont excellents, juste la bonne balance entre l’ambiance (bien feutrée) et les voix.
À bientôt
Un grand bravo à Stéphane qui a fait le déplacement et nous a pondu un reportage qui donne une idée assez juste de la chose. Pour y être allé 26 fois (dixit Roberto Fraga avec qui j’ai fait mon premier déplacement et qui s’est amusé à les compter), quelques petites précisions sur l’événement pour les auditeurs de Proxijeux.
Créé en 1950, le salon paradoxalement a à la fois augmenté en nombre d’exposants, de halls (j’ai vu 2 magnifiques halls (dont l’un ouvert à la lumière du jour) se construire) mais, depuis quelques années, le format qui durait presque 10 jours il y a 40 ans est passé de 7 jours (du mercredi au mardi), à 6 jours (du mercredi au lundi) puis 5 jours (du mercredi au dimanche). C’est suite à la pression des exposants qui trouvaient que la durée était beaucoup trop longue.
Dans les évolutions, il y a eu la construction d’un espace de show-rooms permanents (avec entre autres Lego dont parle le chroniqueur) ouverts plus longtemps.
La pandémie est passée par là et je ne suis pas certain que les investissements faits soient pérennes à terme car, cette année, le salon n’a pas fait le plein. La contrepartie de cette baisse d’affluence est l’augmentation vertigineuse des coûts de l’hôtellerie notamment les mercredis et jeudis soir où on a l’impression qu’il y a un effet de rattrapage sur la baisse de la durée.
Par ailleurs, la désaffection du week-end est bel et bien là. Cette affluence faible le samedi est juste dramatique le dimanche.
La vraie question pour moi est la suivante : Est-ce qu’un salon aussi excentré pourra passer le cap de la prochaine décennie et ne risque pas de devenir à terme un événement national au mieux européen ?
Merci beaucoup pour ces infos supplémentaires et ton retour d’expérience Matthieu ! Effectivement, on dirait bien que cette manifestation est en perte progressive de vitesse…
Salut les Nurembergeois,
merci pour ce compte-rendu détaillé, hyper intéressant.
Bon retour