Le pour et le contre Kingdom Builder
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[Le Pour et Le Contre] Kingdom Builder

Introduction

Dans ce nouvel épisode du format Le Pour et le Contre, on s’attaque à un jeu récompensé par le Spiel des Jahres en 2012. Flavien endosse le rôle d’arbitre pour la troisième fois de suite, pour distribuer la parole à barTouf – du côté du pour – et Le Pionfesseur – du côté du contre – pour parler de Kingdom Builder.

Écouter Le Pour et le Contre sur Kingdom Builder

1:30:45 - Télécharger le fichier mp3

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Le dernier Le Pour et le Contre consacré à Five Tribes

Que vous ayez aimé ou non notre émission, faites-le nous savoir en rédigeant un commentaire public en bas du billet. Il aura ainsi peut-être le privilège d’être cité dans le prochain épisode.

La précédente émission de Le Pour et Le Contre était consacrée au jeu Five Tribes.

Arbitrée par Flavien, Benofx était dans le camp du POUR et Le Pionfesseur dans celui du CONTRE.

Pour consulter l’article dédié à cet épisode, écouter ou ré-écouter cette émission, cliquez ici.

Fiche signalétique

 

  • Autorat : Donald X. Vaccarino
  • Illustration : Oliver Schlemmer
  • Édition : Queen Games
  • Nombre de joueur·se·s : 2 – 4
  • Âge minimum : 8 ans
  • Durée de partie : 45 minutes
  • Année de parution : 2012
  • Disponible chez La Caverne du Gobelin
  • Fabriqué en Allemagne

Comme Dominion, première œuvre éditée de Donald X. Vaccarino, Kingdom Builder est récompensé par le prestigieux Spiel des Jahres. S’il n’a pas marqué l’histoire du loisir de la même manière, il a lui aussi connu un grand succès, renforcé par la sortie de plusieurs extensions, des Big Box, et une réimplémentation nommée Winter Kingdom.

Sur un tour de jeu simplissime (je joue trois maisons sur le territoire indiqué par ma carte), Kingdom Builder pose des contraintes qui peuvent parfois un peu rigides et dont il peut être difficile de s’affranchir. On discute ici du ressenti face à cette rigidité, des moyens de s’en sortir et de l’intérêt que proposent ces recherches de solution.

© @garyjames (BGG)

Kingdom Builder propose de récupérer quelques pouvoirs en se plaçant auprès de certains lieux. Eléments d’interaction, de flexibilité, de gestion du rythme de la partie, ils semblent parfois manquer de personnalité et ne suffisent peut-être pas à sortir de l’aspect statique dont on parlait en première partie.

Les pouvoirs de construction et de déplacement

Enfin, on finit par le but de tout ça, les points. Au-delà des châteaux, ce sont les trois objectifs de fin de partie qui vont donner du sens à nos choix et peut-être des dynamiques différentes en fonction des parties. Sont-ils intéressants, suffisent-ils à apporter de la variété aux parties, et surtout arrivait-on à les comprendre avec la fameuse traduction française de l’époque ?

© @binraix (BGG)

Un dernier tour d’horizon pour synthétiser ce qui plaît ou non dans Kingdom Builder chez nos trois intervenants.

 

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