Après deux mois de confinement, c’est plus drôle que jamais que l’on retrouve Polgara et ddschutz, les Shirley et Dino du podcast ludique ! Préparez-vous pour leurs meilleures blagues qui ponctuent la présentation de ces chroniques du mois de mai, destinées aux joueuses et joueurs de 3 à 99 ans.
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Joueurs nés
Pour préparer vos enfants à rivaliser avec les Sherlock Holmes et autres Miss Marple, Polgara vous présente ce mois-ci un jeu destiné aux enquêtrices en herbe prêtes à en découdre avec les pires gredins de l’univers : Mia London et l’affaire des 625 fripouilles ! Un jeu d’observation et de rapidité tout en mauve et vert pomme.
Si vous ne le saviez pas, le SAV était encore ouvert pendant le confinement et nous avons reçus beaucoup d’appels curieux et inédits. Nous vous en offrons quelques uns. Les autres étant classés secret défense.
Plateaux Numériques
Cyrus a traversé les âges pour vous présenter l’application de Through the Ages, l’un des jeux phares de Vlaada Chvátil.
Le jeu est disponible sur :
Ceci est un jeu
CargoToaster vous invite à découvrir la nouvelle énigme de « Ceci Est Un Jeu ». Une énigme sonore à base d’extraits musicaux, de répliques de films, de génériques TV etc.. où le but du jeu est de trouver le jeu de société auquel les extraits font référence !
Saurez-vous trouver le jeu en question ?
Pour envoyer votre réponse, c’est ici (date limite : 15 juin 2020).
Sources des extraits sonores :
1. Génériques et jingles
2. Ceci est la réponse
La réponse du mois dernier était Intrigue ! Vous trouverez ici le liste des extraits.
3. L’Énigme du mois
- « Mangez Moi » – Billy ze Kick
- Si Paris nous était conté, par Sacha Guitry en 1955
- « La femme d’Hector » – Georges Brassens
- Kaamelott – Livre I, L’adoubement, par Alexandre Astier.
- Titanic , par James Cameron, sorti en 1997
- Chaussée aux moines, publicité INA
- Gladiator, de Ridley Scott, sorti en 2000.
- « J’préfère 100 fois » – Sincemilia
Joueur d'ailleurs
Kaigai Games
Pour parler du jeu au Japon, Hammer et Izobretenik, les deux expatriés de la Proxi-Team combinent leurs deux chroniques en une seule ce mois-ci ! Hammer a fait fi du décalage horaire pour interviewer son camarade afin d’en savoir plus sur l’univers du jeu au pays du soleil levant.
Ludo Incognito
La mauvaise humeur, chronique de l’Acariâtre
Cette année, l’Acariâtre en a marre. Alors quand on lui offre une tribune podcastique, il libère son fiel sans attendre.
Le sujet de son emportement ce mois-ci : les usages autorisés et les usages révoltants du jeu de société.
Les petites boites dans les grandes
Cette fois ci c’est l’Olympe qui est visé, Astien vous parle de la double extension de Dice Forge.
Dice Forge : Rebellion regroupe 2 modules qui peuvent être ajoutés indépendamment au jeu de base. Le matériel de qualité est toujours au rendez-vous mais le gameplay l’est-il aussi? En écoutant cette chronique vous en saurez surement un peu plus.
Si le jeu m'était conté
Découvrez et écoutez différentes situations de jeux rencontrées peut-être pendant le confinement mais pouvant sûrement survenir à n’importe quelle occasion pendant l’année.
Autour du jeu
Restaurants, bars et cafés sont encore fermés, et pourtant Flavien vous embarque dans les salles du [kosmopoli:t], aux menus variés et numériques proposés par Julien Prothière et Florent Toscano. Et en attendant de vous faire servir, il vous propose une sélection d’œuvres culturelles pour vous mettre l’eau à la bouche.
- Médias : Top Chef, Bouffons ; Casseroles
- Musique : Chumbawamba – « Compliments of Your Waitress » ; Music in Action – « Food Around the World »
- Littérature : Hungry: Eating, Road-Tripping, and Risking it All with Rene Redzepi, the Greatest Chef in the World (Jeff Gordinier | Tim Duggan Books | 2019)
- Films : Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant (Peter Greenaway, 1989) ; Ratatouille (Brad Bird, 2007) ; #Chef (Jon Favreau, 2014) ; Les recettes du bonheur (Lasse Hallström, 2014)
- Série : Food Wars! (Yoshitomo Yonetani, cinq saisons de 2015 à 2020, dont les deux premières disponibles sur Netflix, sinon sur Crunchyroll)
- Jeux vidéo : Overcooked et Overcooked 2 (Ghost Town Games | Team17 | 2016 et 2018); la série Cook, Serve Delicious! (Vertigo Gaming | trois épisodes en 2012, 2017 et 2019)
Morceaux utilisés en fond : Michael Giacchino – « Ratatouille Main Theme » ; Rebirth Brass Band – « (I Feel Like) Busting Loose » ; A.R. Rahman – « New Beginnings » ; Ultra Tower – « Kibō no Uta » ; Christian Marsac – « Valse Seine » ; Jonathan Geer – « Main Menu E »
Jingles : The Beach Boys – « I Get Around »
Les analyses du Pionfesseur
Ce mois-ci Le Pionfesseur analyse en profondeur un outil de Game Design très prisé par l’auteur Mac Gerdts : La Roue.
Les jeux cités dans la chronique (certains disponibles chez Philibert, ils ont une super fonction de recherche pour ça ;)) :
- Antike
- Hamburgum
- Imperial
- Navegador
- The Prince of Machu Picchu
- Shipyard
- Finca
- Merlin
- Teotihuacan
- Great Western Trail
- Monopoly
- L’Awale
- Trajan
- Carolus Magnus
- Bunte Runde
- Century
- Vinci / Smallworld / Smallworld of Warcraft
- Puerto Rico
- Concordia
Ceci est une réponse au billet de l’Acariâtre :
Oui, le jeu est une activité complexe et protéiforme. Oui, ses limites sont difficiles à définir tant il semble être partout. Lorsqu’on ne prend pas une activité au sérieux, lorsqu’on se met soi-même au défi, lorsqu’on s’impose ses propres règles… On est déjà un peu dans le jeu. Ne pas chercher à le définir et s’en remettre aux usages paraît donc la chose à faire. Sauf que cette position, très sage à première vue, pose des problèmes lorsqu’on sort des pensées abstraites.
Notre société a un penchant pour l’utilitarisme. Elle aime que les choses servent et en tirer un bénéfice quantifiable. Et cette tendance pose bien plus de problème que tu sembles le penser. Chez l’enfant surtout. Pourquoi y a-t-il si peu de jeux et de jouets dans les écoles élémentaires ? Pourquoi les cours de récréation sont-elles si désespérément vides ? Parce qu’on ne comprend pas l’intérêt du jeu (libre) de l’enfant. Il n’apporte aucun bénéfice visible, mesurable, quantifiable. Alors on le tolère jusqu’à 5 ans et après on l’oublie, on l’ignore, on l’exclut sauf… Sauf quand on cherche le maîtriser. Le jeu éducatif, lui, est à la mode. Bah oui, toute cette énergie gâchée, elle est là, ça serait dommage de ne pas s’en servir. Je ne pense pas que les créateurs ou les utilisateurs de jeux éducatifs soient des monstres. Je pense simplement qu’ils se trompent. L’intérêt même du jeu c’est d’être une activité libre et autotélique (le jeu est son propre but. Nous jouons pour jouer avant tout.). D’autant que jeux éducatifs et jeux sérieux (son pendant adulte) semblent très intéressant sur le papier. Comme un barrage sur une rivière ou une selle à un cheval. Sauf que le jeu s’appuie sur le plaisir et la liberté du joueur. C’est pour cela qu’il se domestique difficilement.
Une ludothécaire m’avait racontée qu’avant, dans sa ludothèque, les enfants qui venaient avec leur classe devait d’abord faire trente minutes de jeu dirigé. Ils devaient s’asseoir et on leur disait à quoi jouer alors que dans la salle d’à côté les attendaient poupées, figurines, déguisements et dinettes. Tout ce dont ils rêvaient. On leur disait : “D’abord joues, et ensuite tu pourras jouer”. Certains se pliaient de bonnes grâces aux attentes de l’adulte et y prenaient même du plaisir, mais bcp n’entraient jamais dans le jeu. Ils voyaient cette demi-heure comme une contrainte imposée avant la délivrance. Comme un exercice pas comme du jeu. Bien sûr, l’instruction est une bonne chose, une chose nécessaire, mais le jeu est aussi une nécessité pour le développement humain. Une nécessité à laquelle ne répond pas les exercices qui emprunte l’apparence ludique. D’ailleurs les enfants ne sont pas dupes. « Et quand j’aurais fini, je pourrais aller jouer ? »
Le problème de la tolérance que tu prônes l’Acariâtre. Cette posture qui consiste à ne pas chercher à définir le jeu. A ne pas à chercher à promouvoir une forme de jeu plutôt qu’une autre, c’est qu’elle laisse la loi du plus fort s’exprimer. Et à ce jeu là, les formes de jeu les plus “utiles” gagneront à tous les coups pour étouffer les formes les plus gratuites. Tu me diras peut-être “pourquoi les opposer ?” mais tout simplement parce qu’elles s’opposent dans les faits.
Je trouve en plus que ne pas chercher à définir le jeu, à ne pas essayer au moins d’en déterminer les caractères les plus représentatifs, c’est abandonner l’idée de comprendre ce qu’est le jeu. Lorsque j’ai annoncé que je voulais faire une vidéo sur la définition du jeu une diplômée en game design m’a demandé dans quel but. Quel était mon projet derrière. Quand je lui ai expliqué que ma seule volonté était que de décrire une réalité et elle n’a pas compris l’intérêt. Pour elle, définir le jeu devait avoir un but, une utilité.
C’est un problème inhérent aux game studies. Ce sont des recherches certes très intéressantes mais toujours orientées vers un but. Elles répondent à un objectif, et si parfois leurs travaux aident à mieux comprendre le jeu, c’est juste par voie de conséquence. Je préfèrerais un peu plus de recherches fondamentales sur ce comportement qui nous paraît étrange à nous humains du XXIe siècle tellement habitué à tout voir par le prisme de l’utilité.
Bonjour Ludiculture, merci pour ton commentaire très dense et désolé pour mon délai de réponse !
Concernant les utilités du jeu, je comprends tes arguments et en tant que joueur passionné, je les partage grandement. Mais ce que j’essaye de dire c’est qu’on a tous une version biaisée et utilitariste du jeu. On joue et on fait jouer pour gagner, pour oublier, pour se détendre, pour apprendre, pour guérir. Je ne crois pas à l’idée d’un jeu qu’on fait pour ne rien faire. Si le jeu ne provoquait rien, on ne jouerait tout simplement pas.
Face à ce constat, je pense qu’il faut rester tolérant avec les visions du jeu et objectifs du jeu qui ne sont pas les siens. Ce qui ne veut surtout pas dire qu’on ne doit pas défendre sa propre vision du jeu et en débattre. Mais il ne faut pas mépriser les autres visions, il faut au contraire essayer de les comprendre pour en extraire des choses positives, pour potentiellement en intégrer des parties à sa propre vision et aussi mieux la défendre et la promouvoir.
De la même manière, je ne pense pas qu’il existe une définition définitive, universelle et objective du jeu. On en a tous une compréhension personnelle avec beaucoup de consensus implicite mais aussi beaucoup de divergences tout aussi implicites. Notre vision personnelle du jeu est d’ailleurs évolutive dans le temps et selon les conditions du débat. Là aussi il devient donc vain à mes yeux de tenter de convaincre les autres d’une définition plutôt que d’une autre. En revanche, questionner sa vision du jeu, la formaliser et la présenter au reste du monde, la débattre et la défendre est très instructif pour soi-même, pour les autres et pour le jeu lui même. Et une grande source de plaisir à mes yeux : je préfère encore une heure de discussion sur ce qu’est le jeu qu’une heure du jeu, c’est comme ça !
Par ailleurs, comme je disais dans la chronique, je ne pense pas du tout qu’une vision du jeu, plus « forte » que es autres, puisse seule survivre aux détriments des autres. Certains crient très haut et très fort que le jeu est pur divertissement et ne doit surtout véhiculer aucun message. D’autres pensent que c’est une forme d’art. D’autres que c’est un discours d’auteur. D’autres un objet pédagogique. D’autres un outil de médiation ou de communication. Et pour la plupart un mélange de tout ça dans des proportions plus ou moins diverses. Certaines visions sont plus entendues dans certains contextes et plus adoptées par certains publics c’est logique mais je ne vois aucune de ces visions l’emporter sur tous les terrains et faire perdre de la visibilité au jeu. J’ai au contraire l’impression (et c’est mon optimisme légendaire qui parle) que tout ça enrichit le jeu et augmente la visibilité du jeu et sa place dans les débats et discours. Quand le jeu est à l’école, au musée, dans les bars, à l’hôpital et à l’université, c’est le jeu qui ressort gagnant, non ?
Je m’excuse d’avance pour ce second pavé ^^’. J’espère qu’il ne te découragera pas trop…
Je pense qu’il y a une distinction très nette à faire entre les motivations internes, propres aux joueurs, et les motivations qui lui sont extérieures et qu’on tente parfois de lui imposer directement ou indirectement.
Les motivations internes sont, comme tu le dis, toutes égales. Qu’on joue pour gagner, pour cogiter, pour s’activer ou pour profiter d’un moment social agréable, cet instant appartient au joueur et c’est très bien comme ça. Le point commun, essentiel, entre toutes ces motivations, c’est qu’il en découle du plaisir. Le jeu est au service du plaisir du joueur. C’est sa raison d’être.
Je pense même qu’il arrive de jouer simplement pour ressentir du plaisir sans autre motivation profonde.
Les motivations externes ne sont pas impulsées par le joueur lui-même mais par d’autres (créateurs, instigateurs ou “meneur” du jeu) qui cherchent à l’instrumentaliser. L’objectif final n’est plus le plaisir immédiat mais autre chose : apprendre, se maintenir en forme, perdre de mauvaises habitudes (comme dans le cas de certains serious game) etc.
Le risque dans ce cas-là, c’est de s’éloigner de l’essence même du jeu. Ca en a l’apparence mais ça n’en est plus tout à fait. En décalant sa raison d’être du plaisir vers autre chose, on touche AMHA à un élément essentiel du jeu.
Je pense que la perte de l’aspect ludique est une éventualité car, au final, c’est au joueur de décider. Si malgré ces “interférences” il y trouve du plaisir alors on peut considérer ça comme du jeu.
Alors certes, tu as raison, l’activité ludique est multiple, protéiforme, et une simple observation visuelle ne peut suffire à déterminer si une activité est ludique ou non. Néanmoins, je pense qu’une définition est possible. Le jeu est une attitude universelle. (J’utilise le terme “attitude” à dessein car, selon moi, avant d’être une activité, une pratique culturelle ou même un comportement, c’est d’abord une attitude). Elle est pratiquée par toute l’espèce humaine et par un grand nombre d’autres espèces animales. A bien des égards nos pratiques ludiques enfantines ne sont pas si loin de celles d’autres mammifères, tel les grands singes.
Mais effectivement, nous nous l’approprions si bien qu’il est difficile de distinguer le naturel de l’artificiel, le commun de l’idiosyncrasique, la pulsion innée de la pratique acquise.
Pourtant c’est pour moi une certitude : il existe un dénominateur commun. Reste à en tracer les principaux caractères.
Jouer est une pulsion naturelle qui s’enrichit de nos penchants, du contexte familial et social, de nos traits psychologiques et de tout un tas d’autres choses mais le noyau, l’instinct ludique originel est là. Il n’attend qu’à être découvert.
Ce qui est amusant (enfin… pour moi. Et ma bizarrerie n’est plus à démontrer) c’est de se rendre compte que le jeu est difficile à définir parce qu’il est naturel. Une activité artificielle l’est souvent bcp moins car c’est nous qui en avons constitué les règles. Quand il s’agit d’une pulsion naturelle les mécanismes qui la détermine ne nous sont pas connus. Notre nature ne nous est pas livrée avec un mode d’emploi.
Savoir si le jeu est un divertissement, une activité artistique ou une source d’apprentissage informel…. Pour moi, c’est un sujet annexe à la définition même du jeu. Des cases sociales dans lesquels on voudrait ranger l’action de jouer. Il me semble que le jeu puisse porter toutes ces étiquettes. C’est là où nos convictions convergent. Elles divergent néanmoins sur deux choses.
D’abord, je pense que tout ce qu’on appelle jeu n’en est pas forcément. Certaines n’ont pas, à mon sens, ces caractères propres au jeu. C’est le cas de certaines pratiques de jeu pédagogique et de certains “jeux sérieux”, entre autres. (Je m’avancerais même à douter de la qualification en “jeu” de l’activité du nourrisson, que l’on nomme parfois jeu heuristique. Pour moi, avant 1 an et demi / 2 ans on ne peut pas vraiment parler de jeu mais c’est un autre débat).
Ensuite, je ne pense pas que promouvoir toutes les formes de jeu aille vers une valorisation générale. Je pense que certaines formes d’activités dites ludiques se nuisent et entrent en concurrence. C’est le sens de l’exemple que j’ai donné dans mon commentaire précédent qui voit se confronter en pratique le jeu libre de l’enfant et le jeu pédagogique (dirigé).
Complètement haché par le *plouf* faut rembobiner.
On en est qu’à six minutes de podcast.
ça va être un numéro d’anthologie.
Merci pour ces chroniques ! DD et Polgara en grande forme encore une fois 😀
Bon et j’ai acheté l’appli TTA du coup. Merci pour la recommandation le jeu et l’appli sont vraiment top !
Balance ton blase dans l’appli !!! \o/ \o/ \o/
==> cyrus_j2s
Tout pareil que mes voisins du dessus. Le rembobinache m’a fait faire un écart sur la route. Dangereux quand même. Et ce qui est drôle aussi, c’est qu’à force d’écouter DD, Polgara, de façon imperceptible, a été légèrement contaminé par l’accent alsacien. En parlant de contamination, je me suis rendu compte aussi de la contagiosité de votre contenu : Achat app TTA done, Wishlist Mia London done, Achat TTA en dur en réflexion. Heureusement que j’ai déjà Dice Forge Rébellion…
Balance ton blase dans l’appli !!! \o/ \o/ \o/
==> cyrus_j2s
Salut la proxi-team,
J’ai déjà écouté Proxi-Jeux :
– dans mon lit avant de dormir
– en dormant ^^
– en faisant la vaisselle
– en faisant la cuisine
– en étendant mon linge
– dans la salle de bains
– au bureau
– en télé-travail
Je vous écoute sur Podcast Addict depuis mon téléphone (avant je téléchargeais le mp3), merci pour la découverte de l’appli.
La qualité sonore et la diction des différents chroniqueurs est très bonne/excellente, ce qui me permet de vous écouter en x1.5 sans aucun désagrément.
J’ai beaucoup aimé l’accent forcé de ddshutz au début, qui finit par revenir un peu malgré lui, par petites touches, à certains moments, durant l’émission.
@Pionfesseur : la chronique sur la « roue » m’a fait penser à ces jeux : « La route du verre », « Imaginarium », « Tzolkin » et « Couleurs de Paris », est-ce qu’on peut les classer dans la même catégorie que ceux de la chronique ?
L’anecdote de « La poignée de portes » est juste incroyable ! J’ai bien rigolé !
Et nouvelle citation signée Proxi-Jeux, à ne pas sortir de son contexte, « si tu veux te toucher …. parce que tu te touches souvent … exactement » ! \(♥‿♥)/
Bons jeux et bon déconfinement à tous !!
Bien le bonjour,
Encore un excellent numéro ! Polgara et Ddschutz : en tournée dans toute la France dès septembre 2020 pour leur spectacle « Et plouf… je rembobine ! » MY-THI-QUE !! :-p
Concernant l’analyse du Pionfesseur, cela m’a fait penser, dans une moindre mesure, à Seasons, avec son plateau circulaire central. Le pion des saisons est commun aux joueurs et induit des dés (et donc des actions de cartes) différents.
Hâte de vous retrouver (bien avant décembre j’espère) XD ^^
Encore une excellente chronique! Elle a mis de l’ambience à la maison, en particulier les résultats de « Ceci est un jeu ». On croise les doigts pour la dernière chronique de la saison et le triplé … et aussi pour l’Euromillion.
Je n’avais pas accroché à la version originale de TTA. Trop long et trop de manipulations comparé à d’autres jeux de « civilisation ». La version électronique m’a fait changer d’avis. Suivez les conseils de Cyrus et achetez-là!
Petit bonus, vous pourrez faire des tournois avec une sympatique bande de joueurs francophones présents sur Twitter 🙂
Hello, et oui, j’ai enchainé 116 et 117 🙂 🙂 mais encore en retard pour jouer à Ceci est Un Jeu 🙂
Tata Suzanne est encore confinée, mais cela n’a pas empêché dans ces 2 numéros d’entendre parler de jouets vibrants, d’occupations solitaires dans les toilettes … L’an prochain on remplace DD&Polgara par Jackie&Michel ?
Sinon pour dévier du scato vers l’humour (très) noir, je vous conseille le Plouf des Wriggles 🙂 🙂
https://youtu.be/-mx_mwmOChk
sur ce, je vous laisse, je vais faire 5 fois l’aller-retour jusqu’à mon boulot ce soir pour écouter l’épisode 118 …