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N°137 – À la découverte du jeu de société

Ce mois-ci, la proxi-team vous propose un nouveau dossier. Dans ce dossier, il s’agit de partir à la découverte du hobby « Jeu de société ». Le Pionfesseur, Drou, Flavien et Cyrus vous partagent leurs réflexion sur ce sujet.

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Commentaires de l’épisode précédent

Un rapide retour sur les commentaires de l’émission précédente, à savoir notre dossier consacré aux prix ludiques.

Le Dossier – À la découverte du jeu de société

Le Pionfesseur vous explique pourquoi le media jeu de société est en soi difficile à découvrir.
Une bonne introduction pour comprendre le pourquoi on a choisi de parler de ce sujet dans cette émission.

Drou vous propose 8 astuces pour découvrir des nouveaux jeux sans vous ruiner mais aussi en développant votre réseau de joueurs.

 

Dans sa partie, Flavien opère changement d’angle en se plaçant du côté des personnes qui accueillent les débutants et débutantes autour de leur table. Car pour bien commencer une nouvelle activité, quoi de mieux que d’y être bien accueilli·e ? Au cours de sa chronique, il présente quelques axes de réflexion, quand bien même le maître-mot reste adaptation au contexte et aux personnes. Il aborde notamment les questions suivantes :

  • l’inclusivité
  • l’explicitation du jargon et habitudes ludiques
  • le choix du jeu et du déroulement de la partie
  • backseat (une définition ici), conseils et consentement
  • attention au prosélytisme 

Cyrus vous propose un presque TOP 10 !

Voici, selon Cyrus, les 10 jeux qu’il faut pour bien démarrer la constitution de sa ludothèque personnelle.

Voici les critères qu’il a retenu pour l’émission :

  • Des jeux dont l’écriture des règles est réussie. Des règles sans ambiguïté et les plus courtes possibles (exemple de jeu exclu : Deep Sea Adventure) ;
  • Des jeux pas trop « aride » (exemples de jeux exclus : Can’t Stop, Les Cités Perdues) ;
  • Des jeux graphiquement réussi, voire engageant (exemple de jeu exclu : Cartagena) ;
  • Pas de jeux jouables une seule fois (exemple de jeu exclu : Suspects) ;
  • Des jeux disponibles (exemple de jeu exclu : Fauna).

Et voici donc la liste de Cyrus

  • L’incontournable : Carcassonne
  • 3 jeux d’ambiance :
    • Just One : l’évidence, le jeu qui fera mouche dans toutes les bonnes soirées ;
    • Top Ten : Le blanc manger coco pas limite limite ;
    • Mot malin : pour jouer en 5 minutes chrono
  • 3 jeux qui ont dépoussiéré les classiques :
    • Marrakech : ou la mort du Monopoly (enfin, en tout cas on voudrait bien…) ;
    • Love Letter : la déduction n’est pas forcément aussi froide que dans Cluedo ;
    • Le Bois des Couadsous : le Mémory mais intéressant
  • 3 jeux qui mette en avant une mécanique majeure du jeu de société moderne :
    • Star Realms : ou la quintessence du Deckbuilding dans un jeu d’affrontement
    • Sushi Go : Drafter des mets japonais, miam miam !
    • Agricola version famille : Mettez-vous à la pose d’ouvrier avec LA référence

Si vous voulez nous proposer VOTRE ludothèque idéale pour démarrer, voici le lien qu’il vous faut : Les 10 jeux pour bien commencer sa ludothèque

N’oubliez pas la question de La Caverne du Gobelin vous permettant de bénéficier d’un code promo de 5€ à partir d’une commande de 40€.

27 nombreux commentaires pour N°137 – À la découverte du jeu de société

  1. Hello hello ! Pourriez-vous nous dire ce que vous mettez chacun.e derrière l’idée de « débuter dans le jeu de société » ? Est-ce que « débutant » et « novice » ce serait pareil pour vous ? Merci 🙂

    1. Bonjour Azulita,
      Ce ne sont que des termes. Personnellement, je n’y vois pas de grandes subtilités.
      Débuter, c’est ce moment où tu te trouves un intérêt pour quelque chose et où tu te dis « tiens, je me lancerais bien là-dedans !? » Comme tu te mettrais à l’écriture, à la poterie, au volley ball, au Tir à l’arc, etc.
      Cyrus

      1. Je suis désolé des fautes de frappe et de syntaxe dans mon commentaire.
        Je ne trouve pas comment l’éditer.
        Fermez les yeux sur les coquilles

  2. Bonjour,
    Ùn des thèmes qui m’a manqué est l’accessibilité pour les personnes handicapées. Et comme vous avez parlé plusieurs fois d’accessibilité je pense que vous ne vouliez pas trop vous étendre, mais je pense que c’est un sujet important, et des efforts sont faits par certains éditeurs.

    1. Bonjour Piwie. Tu as tout à fait raison de le pointer, on a parlé de débuter dans des conditions assez globales mais il aurait tout à fait été pertinent de pointer certaines spécificités comme le handicap. J’aurais de mon côté pu en dire un mot dans la partie sur l’inclusivité, ou on aurait pu rebondir à la chronique de news avec des ressources spécifiques, comme par exemple Accessijeux. Du côté des news, Asmodée vient d’annoncer le studio Access+ (https://twitter.com/Access_Plus_/status/1524001303273299968?s=20&t=EENfisz8Ssr3oPssguPTCw), qui pourrait être un pas de ce point de vue.

      Merci de ton commentaire qui pointe cet angle mort.

  3. Quelle émission, très intéressante !

    Quel stress de faire jouer un novice pour espérer qu’il y revienne après.
    Et c’est vrai finalement avec les autres loisirs qu’on aime.

    Par exemple, une personne qui souhaite aller à un concert de musique classique une fois dans sa vie. Il faut bien choisir le contenu mais pas que ! Aussi important : la formation qui joue, la localisation, le lieu d’accueil, le public présent, l’heure, le prix, etc. Genre le plein air en accès libre avec un public en short de tous les âges pour un orchestre symphonique qui joue du festif, c’est pas pareil qu’un quatuor à cordes à l’opéra à 40€ pour 1h30 avec un entracte de 30 min au milieu de gens en costard qui boivent du champagne.

    Ainsi, je crois que le choix du jeu pour le rite initiatique n’est pas très important. Pas d’accord avec Le Pionfesseur qui parle d’apprendre à jouer à quelqu’un. Je ne crois pas du tout qu’il y ait beaucoup de personnes qui rentrent dans un loisir en se disant : je veux apprendre à faire ça. Les gens veulent d’abord jouer ! Pas apprendre à jouer. Si je reprends le parallèle avec la musique, forcer les gamins à apprendre la musique (solfège) avant de commencer à en jouer est catastrophique pour leur motivation à continuer (sauf pour les intellos).

    J’en viens au point (je l’espère) constructif de mon commentaire : laissons choisir le jeu au novice en fonction de son préjugé en lisant la boîte ou en regardant à l’intérieur. Ensuite, simplifions les règles au maximum (sans lui dire). Exemple : 1ère partie de 7th Wonders, je supprime le draft et les guildes et je lui donne le plateau merveille avec que des points de victoire. Si l’envie est là, la 2e partie intègrera plus de points de règles écartés. A Narak on peut supprimer le calepin (donc les assistants), les boost one shot des idoles récoltées, la possibilité d’acheter un avion pour 2 pièces, l’ajout d’une peur si tu as un gardien sur ta case avant la fin de ton tour…

  4. Très chouette émission.
    Chaque rubrique avait son intérêt.
    Je le suis reconnu sans plusieurs aspects et j’en ai rigolé : celui qui a toujours un jeu et essaye de le placer dans les temps morts, aussi celui qui annonce que c’est simple pour ne pas effrayer la tablée en rapportant la boîte ou en sortant le matériel

    Restituer les règles du jeu de la meilleure manière est presque un art : elle peut être différente pour selon le jeu : premier tour, première manche voire partie pour du beurre ou introductive progressive des contraintes, tout est possible.

    Le top 10 de Cyrus est très chouette. Les jeux qu’il cite et que j’ai pratiqués y ont leur place je trouve(Marrakech, love letter notamment) et les autres sont attrayants.

    Bravo à tous les chroniqueurs pour la préparation, la réalisation et la diffusion de ce numéro.

    Gaume

  5. Merci pour cette très intéressante émission. Je reviens pour l’instant sur la partie de Drou que je souhaites complété au travers d’un autre moyen de pouvoir commencer à trouver des jeux et auxquelles ont pense assez peu : le print&play !
    Lors de gamejames, les jeux sont très souvent disponible en pnp gratuitement. Il y a bien entendu de tout, mais pourquoi ne pas essayer des jeux accessible et gratuit qui ont gagné une jam par exemple ?
    Vous trouverez par exemple facilement des jeux sur https://doityourgame.com/
    Et pour Mr Pion qui aime télécharger illégalement, je lui propose mon propre jeu téléchargeable légalement et gratuitement 😉
    https://doityourgame.com/produit/a-contre-courant/

    Enfin dernier moyen qui m’a permis également de jouer régulièrement : en parler avec les personnes autours de vous. Au boulot, alors que nous bossions ensemble depuis des années, personnes n’était au courant des envies de jouer de chacun. C’est pas hasard que le sujet à été évoqué et maintenant nous jouons de temps en temps avec certain. De plus pour les petit budget, ça permet de jouer à pas mal de jeu car les boites se mutualisent entres collègues/familles.

    JulienN

  6. Le jeu de société n’est pas un média mais une activité.

    Vous dites qu’avec un jeu de société, les joueurs vérifient les règles du jeu.
    Donc sur BGA ou avec une application, ce ne sont pas des jeux de société ?

    Idem jeux ‘en ville’: Un cluedo géant est tout autant un jeu de société qu’un jeu d’enquête sur table. Idem pour les chasses au trésor, escape games, jeux de pistes, geocaching.

    Il n’est de niche que pour ceux qui construisent la niche pour exclure des domaines ludiques , des jeux ‘pas modernes’ ou pas assez geek.

    1. Hello, le jeu de société est un média au sens où il joue un rôle d’intermédiaire de communication entre les joueuses.
      Évidemment que l’on est obligé de vérifier les règles et d’assumer que les gens ne trichent pas autour de la table, au contraire d’une appli ou d’un algo qui peut vérifier automatiquement le respect des règles.

      1. Donc sur BGG ou bien avec un jeu disposant d’une application (Unlock, Chronicles of crime…), ce n’est pas du jeu de société ?

        Pour moi, le jeu de société, c’est le fait de jouer, indépendamment du ou des supports: boite de jeu, application, navigateur internet, espace de jeu (ex: ville/cluedo géant, salle/escape game…)…

  7. Merci pour ce sujet très intéressant et ce top 10 qui resservira ! 2h30 ça n’était pas de trop 😉

    Je pense que les jeux à licence sont un bon moyen de faire découvrir le jeux de société, le joueur débutant partant avec un a priori favorable avec un jeu dans un univers qui lui plaît.
    Les jeux coopératifs aussi pour lesquels ont peut plus rapidement introduire les règles puisqu’on peut expliquer les situations particulières en cours de partie sans léser le joueur.
    J’ai ainsi pu introduire quelques personnes aux jeux avec Harry Potter Hogwart Battle qui a ses 2 avantages (et aussi celui de pouvoir moduler la longueur et la complexité des parties avec son côté « legacy » refaisable), et est très accessible – puisque vous en cherchiez 😉 -et permissif pour familiariser au deck building.

    Sinon j’ai remarqué qu’en faisant jouer certaines personnes avec mes enfants à des jeux « modernes » ils se rendent compte qu’en fait les jeux de société c’est rigolo et ça ne se limite pas qu’au monopoly ou cluedo et sont alors plus enclin à jouer à des jeux « adultes ».

  8. Salut les découvreurs,

    Dans mon cercle d’amis, c’est moi le référent jeux de société, et cet épisode m’a bcp plu parce que je me suis retrouvé dans chacune des anecdotes ! 😀

    Trouver le bon jeu pour le bon public est ce que je préfère mais c’est loin d’être une science exacte !
    Le jeu qui semblait parfait peut faire un flop monumental alors que le jeu moyen moyen va être un carton plein.

    Et avoir le rôle d’explicateur de règles, c’est vraiment pas facile, surtout qd le public est hétérogène en terme d’âge, de sexe, de profil, etc.

    J’aime bcp aussi le :
    – « Mais tu l’as pas dit ça qd tu as expliqué les règles, j’aurais pas fait ça si j’avais su … »
    (désolé mais je n’ai pas appris le livret de règles et les FAQ par coeur de chaque jeu ♥)

    En tout cas, c’est très agréable de faire découvrir cet univers qui nous passionnent et je dis souvent que c’est un virus, j’ai l’impression d’avoir contaminé pas mal de gens autour de moi, qui sont devenus des joueurs occasionnels (voire invétérés pour certains) !

    A + les taupes !

  9. Un commentaire un peu Hors Sujet, mais je saisi l’occasion pour en parler puisque Le Pionfesseur en parle à partir de 1h15.

    Le numérique et Internet ont permis de développer 2 mouvements de diffusion de la culture : le piratage et le mouvement libriste (logiciels libres mais aussi Wikipédia etc.) que Pionfesseur renome « l’émulation » pour le cas des jeux de société.

    Ces deux mouvements se sont rejoint en développant des outils libre de diffusion des copies pirates comment BitTorrent où les intermédiaires ont une place faible et peuvent être contourné par les utilisateurs. Les services de piratage utilisant BitTorrent enferment peu les utilisateurs contrairement à des services fournis par des escrocs comme Kim Dotcom.

    Or dans le jeu de société très peu de plateformes, ou en tout cas pas les principales, sont libristes à la Wikipédia. Board Game Geek, pourtant démarré en 2000 à peine un an avant Wikipédia, est un magnifique trou noir où les contributeurs bénévoles déposent leurs contributions pour qu’elles soient ensuites privatisées par les administrateurs de BGG. Peut-on forker BGG ? Non.

    En France, on retrouve ce phénomène avec TricTrac. Même si ce site s’est aussi démarquer par la qualité de ses propres publications.

    Plus récemment, on retrouve fréquemment cette arnaque à la contribution gratuite et appropriée. par exemple My Ludo qui se présente comme « Simple, intuitive, performante, multi-support, __COLLABORATIVE__ et GRATUITE ! » et qui invite à « soutenir » alors que c’est juste une application commerciale en devenir. Leur business semble basé sur la collecte de données personnelles, les stats de jeu, qui doivent séduire les éditeurs de jeux, près à payer cher ces renseignements. La base de donnée de « 55 485 jeux saisis avec amour par notre équipe de contributeurs. » semble un bonne exemple de privatisation des commund, d’appropriation de travail gratuit.

    L’autre cas classique est aussi Board Game Arena qui vient d’être racheté par Asmodée alors que de nombreuses émulations de jeux ont été développées par des bénévoles en mode « communautaire ».

    Le Grenier Ludique sans grandes prétentions libriste, vise à normer les relations entre joueurs puisqu’il force la location sans insiter au prêt gratuit. On peut facilement le comprendre par son modèle de monétisation d’entreprise capitaliste : prendre sa commission sur les échange. si l’échange est gratuit, pas de commission.

    Et donc pour en venir à Table Top Simulator, principal outil de piratage des joueurs, voir que c’est un logiciel propriétaire qui fait bien attention à cacher ses sources pour ne pas se faire voler son business… on retrouve les dérives d’un Kim Dotcom.

    Tout ça pour dire que, que ce soit au niveau des ressources libres à la Wikipédia ou le développement de jeux libres et même au niveau du piratage, on ne trouve rien de très merveilleux dans le monde du jeu de société. C’est bien dommage et étonnant quand on voit la proximité des joueurs avec les sphères geek et libristes.

    Sinon j’ai aussi un commentaire en court de rédaction sur le plagiat Loup Garou de Thiercelieux. Car défendre le piratage ou les ressources libres ne veut pas dire qu’on défend le plagiat qui ne fait que revendiquer et ré-affirmer illégitimement la propriété intelectuelle. En quelques lignes, j’étais assez étonné que ce plagiat historique et agressif sur la scène française ne soit pas plus dénoncé dans « Le Pour, Le Contre ». D’une part il a lutter contre toute édition alternative des Loups Garous (non, Loup Garou Pour Une Nuit n’est pas une édition alternative, mais ils se sont quand même pris des reproches par Philippe des Pallières des éditions Lui-même), d’autre part la plupart des défaut pointés par Le Pionfesseur ont été introduit par cette édition. En particulier, le travail fait à Princeton University était plus intéressant. Mais, si j’ai le temps, j’en parlerai plus en détails dans un autre commentaire.

  10. En ce qui concerne un jeu pour introduire le deckbuilding, je trouve que ElDorado s’y prête bien.
    Très chouette émission

  11. Super dossier qui a le mérite d’expliciter bien des choses.

    Je suis très clairement team « J’ai toujours un jeu dans mon sac mais je n’ose pas le sortir », parfois c’est ma compagne qui fait la médiation en plaçant au détour d’une conversation « t’aurais pas un petit jeu à nous proposer ? ».
    Malgré cette timidité je croise de temps en temps des débutants dans le cadre de ma ludothèque de quartier, et je suis complètement en ligne avec Flavien : les erreurs à ne pas faire existent, on les connaît, et il nous arrive tous d’y succomber ; le plus important est d’en avoir conscience pour mieux y résister. Là où ça devient rageant c’est quand on fait gaffe et que c’est un autre joueur à table qui est lourdaud, il est parfois difficile de bien réagir sans paraître pisse-froid non plus.

    Quand j’explique une règle j’essaye de défendre la position que la première partie n’a pas d’enjeu et qu’on pourra introduire des concepts au fur et à mesure quitte à jouer de façon non optimale, mais ça ne passe pas avec tout le monde, certains ont trop l’esprit de compétition pour ça. Par ailleurs quand on aime essayer souvent des nouveaux jeux la première partie est pas loin de la dernière, c’est plus dur d’accepter une partie pour du beurre.

    Pour les explications de règles j’aime assez bien la vidéo qu’avait faite Simon du Passe-Temps pendant le confinement :
    https://www.youtube.com/watch?v=efk9czauMP8
    on y retrouve d’ailleurs l’avertissement quant au « c’est tout simple ».

  12. Émission intéressante mais au vu de mon âge avancé et de mon expérience ludique, j’en suis arrivé à la conclusion que dans jeu de société, le mot clé est société. En fait, je choisis les gens avec qui je joue et donc en général des gens que je connais et qui partagent le même esprit que moi. Du coup, chacun cherche son groupe de joueurs et je ne suis pas vraiment sûr que l’on peut faire découvrir le jeu de société, mais plutôt un groupe de joueurs/une ambiance.

  13. Comme jeu de pose d’ouvriers d’entrée de game, il y a the river (days of wonder), mais il me semble qu’il est plus dispo.

  14. Marché de niche. C’est assez surprenant de classer le jeu de société comme cela. Mais, dans le cadre de la chronique, ça fonctionne. En effet, le Pionfesseur ne définit ce qu’il appelle un marché de niche. Donc difficile de le contredire. Mais je pense qu’en définissant clairement ce qu’est un marché de niche il apparaîtrait que le jeu n’en est pas vraiment un (ou alors que beaucoup de choses peuvent être considéré comme des marchés de niche)

  15. Merci pour l’émission 😉
    Formulaire rempli! Je suis très intéressé d’avoir vos retours sur la compilation des top 10 jeux novices/débutants proposés par la communauté.

  16. bonjour
    super émission, très enrichissante, de qualité.
    J’aimerai bien que vous abordiez dans une émission uniquement les puzzles game car il y aurait beaucoup à dire ( solo, multijoueurs etc..choix multiples ou 1 solution …)
    Voici par exemple une chaine (en anglais) qui aborde que les puzzles game :

    https://www.youtube.com/c/DualBrainGames/videos

    Une autre émission uniquement sur les règles de jeux pourrait être bien, moi je regrette que dans les règles il n’y a pas une page de : (je ne peux pas faire / de négation…) cela permettrai de voir tout le tacite du jeu et les non dit etc au lieu d’avoir recours à des faq

    Merci et bonne continuation
    Marc

  17. Bonjour,

    Merci pour cette émission très intéressante.

    Pour ma part, étant administrateur d’un club de jeux de stratégie, j’ai mis en place une animation qui permet de ressortir des jeux dits classiques pour les nouveaux joueurs. Notre groupe de joueurs étant très (trop) portés sur les nouveautés, les nouveaux joueurs n’avaient pas forcément l’occasion de jouer à ses classiques. C’est un moyen de pouvoir intéresser les nouveaux en plus de tout ce que vous avez déjà mentionné.

  18. Moi je valide totalement LITTLE TOWN en pose d’ouvrier accessible et agréable. Joué avec mon fils de 8ans, ma mère, et les copains peu habitués, c’est parfait.
    Merci à Pionfesseur pour la clarté de son analyse sur les freins d’accès, très éclairant. Merci à la team, émission très riche pour moi qui cherche, dans mon métier d’éduc, à vulgariser des jeux pour les rendre accessible.

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