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[Dossier] Rejouer

Introduction

Dans ce dossier, Flavien, Kurts, Le Pionfesseur et Bartouf parlent, sous différents angles, du fait de rejouer.

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Retour sur les commentaires du dossier précédent


Le dossier précédent était consacré aux « serious games ». On en reparle rapidement, et vous pouvez consulter les commentaires relatifs à cet épisode ici.

Une petite vidéo de présentation de l’épisode de Black Mirror dont il est question dans les retours.

Les interventions des chroniqueurs

 

Flavien entame ce dossier en parlant de son vécu de joueur qui, un temps, s’est lassé du loisir jeu de société, et des facteurs qui l’ont fait replonger, et donc rejouer.

Kurts poursuit en se demandant pourquoi parfois on joue à des nouveaux jeux, et pourquoi parfois on rejoue à des jeux ?

 

LePionfesseur nous liste les différentes raisons de jouer plusieurs fois d’affilée.

La chronique sur les jeux d’arcade citée : https://podcast.proxi-jeux.fr/2024/09/chroniques-septembre-2024/

Enfin, barTouf, n’écoutant que son courage, rejoue ou essaye de rejouer à des jeux dont la doxa voudrait qu’on n’y joue qu’une fois.

Conclusion

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10 nombreux commentaires pour [Dossier] Rejouer

  1. Pour moi, beaucoup de gens rejouent parce qu’ils jouent avant tout avec des gens avant de jouer à un jeu.

  2. On rejoue parce qu’on aime jouer et pas apprendre des règles. Pour qu’il y ait de nouveaux jeux, il faut des early birds dans le cercle qui explorent (donc sélectionnent) et expliquent les règles. Et même avec ça, ça demande d’assimiler les règles, de construire des stratégies, et que ça plaise à tout le groupe.

  3. Ce que Flavien évoque sur le fait de devoir essayer beaucoup de m… pour quelques pépites, ça s’appelle le dilemme exploitation-exploration. Chercher de l’or là où il y a beaucoup de chercheurs ou explorer un nouveau lieu.
    Dans le premier cas, on va trouver un minimum sans grosse pépite, dans le second on peut trouver un filon mais il y a beaucoup de chance de rien trouver.
    Voir la vidéo youtube de Fouloscopie.

  4. Ce « pseudo » était aussi pour alerter sur les deux anagrammes bornant mon message sur les fresques, en lien avec « serious game » :
    Ô mage si rusé joue à un serious game.
    Ô mage réussi ce serious game.

    Donc, « Ô mage si rusé  » et « Ô mage réussi » sont deux Anna Ghram de « serious game ».

  5. Je voudrais rajouter une raison au rejouer :
    « Parce qu’on n’a que ça à faire. »
    Je vois deux types de situations :
    a) On prend un train ou autre qui se trouve retardé ou arrêté et tu n’as que 2-3 petits jeux car le trajet devait durer 1h au lieu de 4h.
    a bis) J’ai également ça avec mes enfants, quand on va à une place de jeu ou chez des amis et que les enfants s’amusent tellement bien qu’on ne veut pas partir de suite donc on refait une partie.
    b) La seconde situation m’arrive car les soirées avec un de mes groupes ont un horaire précis à cause des transports publics, c’est arrivé que certains jeux ne soient pas terminés mais aussi que la partie se termine bien avant l’heure et qu’on se décide à en refaire une car on a le temps.

    Félicitations à tous pour votre dossier.

  6. Chapeau les gars !
    Mais 2h pour 3 émissions c’est trop court.

    Un dossier sur Rejouer
    Un pour et le contre sur les jeux Legacy
    Et un autre dossier sur le spoil

    J’arrive au boulot et j’ai le cerveau en ébullition.

    – Rejouer après une période de pause dans le loisir.

    Je n’ai pas encore connu ça, peux être encore trop récent (2016) dans ce loisir devenu mon loisir principal. Je suis dans une courbe ascendante, qui est devenu exponentielle ces dernières années.
    Mais je pense que c’est un comportement naturel lié aux émotions qu’engendre le loisir.
    Une première phase d’euphorie de découverte provocant une explosion et une boulimie de plaisir.
    Une seconde phase d’intelligibilité, d’analyse et de réflexion.

    Obligatoirement le passage à la phase 2 nécessites le deuil des émotions de la première phase. Néanmoins les émotions de cette dernière restera toujours en filigrane.

    – Approfondir ou élargir

    Étonnamment je préfère rejouer. Lorsque je découvre un nouveau jeu ou que je bouquine des règles, j’imagine déjà avec qui, où et comment je vais partager ce jeu.
    Là où je prend le plus plaisir c’est de faire découvrir les jeux. Je rejoue, là où mes partenaires jouent pour la première fois.
    Je rejoue aussi pour assouvir un comportement addictif, et donc sur des jeux que je maitrise pour avoir une dose rapide. Mais c’est plus en lien avec la chronique du Pionfesseur.

    – Jouer à un jeu plusieurs fois d’affilée.

    Systématiquement je rêve d’enchainé les parties et assouvir mon comportement addictif, néanmoins je suis le plus souvent frustrés, et ça rejoins le commentaire de Flavien, par mes partenaires de jeu qui manque généralement d’endurance ou de plaisir de répétition.
    Du coup le jeu solo est clairement le cas de figure le plus courant d’enchainement de partie.
    Que ce soit lié à un objectif de score tel que Next Station, ou d’une campagne comme Elia, il arrive régulièrement que j’enchaine 3-4 voir plus de partie.

    Pour reprendre l’exemple de Next Station, le matériel m’incite à faire un nombre de partie paire. Effectivement les feuilles étant recto-verso et ne souhaitant pas laisser de feuilles volantes dans la boite, je fait toujours au minima deux parties pour optimiser les feuilles.

    – Rejouer à un jeu jetable ?

    Sans digresser.
    Je suis extrêmement partagé, à la fois j’apprécie beaucoup le système du 7e continent ou de Dorfromantik permettant sauvegarde et reboot, en même temps j’adore aussi détruire le matériel et me laisser guider par ce que le jeu me propose.
    Il m’a fallu du temps pour l’accepter, mais le pionfesseur l’a parfaitement exprimé. L’émotion engendrer par la destruction, le découpage où la découverte d’élément caché dans la boite de jeu offre un plaisir unique.
    Oui l’éditeur en profite, et alors ? J’ai fait le choix d’acheter ce jeu en connaissance de cause, autant profiter au maximum de ce qu’il me propose.

    D’autre part, la mise en place de subterfuge pour préserver un jeu voué à une partie unique, me saoule. Je n’ai pas envie de mettre en place tout ces éléments, je veux juste jouer à mon jeu pleinement et tout de suite, comme un enfant.

    J’irai même plus loin, ces derniers mois ma pensée évolue plus loin.
    Comme beaucoup de Ludiste, je prend grand soins de mes jeux.
    On ne mange pas, on ne boit pas autour du plateau.
    On mélange comme ça, on ne corne pas.
    Je slive les cartes, etc…..

    J’ai ressorti ma boite de Clank récemment, avec ses cartes complétements abimés car trop souvent mélanger et battus sans slive.
    Là où j’aurais été choqué encore un an avant, là j’étais fier et nostalgique de mes premières parties.
    Et je me suis dis que ce jeu à vécu, que c’était un bon achat, qu’il transpirait tout ces bons moments.

    Alors pourquoi ne pas laisser les jeux vivres ?

    – Digression diverse

    J’aurais beaucoup de chose encore à dire sur le spoil. Néanmoins mon commentaire est suffisamment long.
    Dans l’ensemble je suis complétement d’accord avec le pionfesseur.
    Et en désaccord profond avec beaucoup de commentaires de Flavien et de Bartouf, aussi bien niveau cinéma que jds.

    Je dirais simplement
    Oui on peu spoil un film, un jds ou tout autre générateur d’émotion.
    Oui un film peut être bon par son scénario.
    Oui un jds peut être bon par son twist.

    Selon moi, si la génération de plaisir et d’émotion est là, c’est un réussite. Et cela même si cette émotion ne peu plus être reproduite pour les visionnages ou parties suivantes.

    Enfin je terminerai par Kauri et la découverte des règles.
    Lorsque je me suis procuré ce jeu, j’ai suivi les conseils du Pionfesseur pour expliquer les règles (laisser découvrir les pouvoirs aux joueurs durant la partie)
    Cela marche tellement bien que j’ai revu complétement ma façon d’expliquer et de présenter les jds en général.

  7. Allez ! C’est reparti…
    Je suis content de voir que vous avez gagné un cinéphile dans vos rangs. Du coup, comme vous n’avez pas vraiment parlé de rejouabilité, je constate que vous vous êtes perdus à nouveau dans la question du divulgachis… Là-dessus, ce serait bien d’avoir recours à des outils critiques et classiques qui existent déjà, plutôt que de devoir réinventer la roue.
    Effectivement, les deux rois du twist au cinéma c’est Lang et Hitchcock : Psycho ou Vertigo vous surprennent la première fois si vous ne savez pas ce qui vient mais vous pouvez les revoir (plutôt Vertigo que Psycho) des dizaines de fois pour apprécier l’intensité des rapports entre les personnages. Pareil pour un film de Lang comme Beyond a reasonable doubt (un des meilleurs films de procès de tous les temps).
    Un gros nullos comme Shyamalan, typiquement, ne tient que par ses twists : les scénarios sont creux, la mise en scène est naze, du coup si vous connaissez la fin du Sixième sens ou d’Incassable, les films n’ont plus aucun intérêt. Et pour ce qui est d’un film ultra-populaire, cité dans votre podcast, tel que La communauté de l’Anneau (et que personnellement, en grand cinéphile et fan de Tolkien, je considère comme un absolu déversement de chiasse cinématographique), tout le monde se contrefout des éventuels spoilers vu que Tolkien est tout sauf un auteur à intrigue…
    Mais pour revenir à la théorie, celle qui existe depuis l’antiquité et Aristote, reprise par le XVIIème siècle français et qui structure encore les scénarios hollywoodiens actuels, il faut parler de l’opposition entre l’intrigue et l’action (« action » and « story » chez le spécialiste du scénario américain Syd Field pour qui l’« action » anglaise est l’« intrigue » française), soit l’idée qu’une histoire peut être à la fois considérée comme un enchaînement d’événements, avec des mystères, de la tension, des scènes spectaculaires et des rebondissements qui retournent le cerveau, en un mot, une mécanique extrêmement efficace (c’est l’intrigue) mais également comme le trajet intime et psychologique d’un ou plusieurs personnages auxquels le lecteur/spectateur (la théorie originellement, dans la Poétique, porte sur le théâtre) sera amené à s’identifier et s’attacher, l’action (chez Aristote dans la Poétique, https://theatre-classique.fr/pages/pdf/ARISTOTE_POETIQUE.pdf, c’est traduit par « fable » et « moeurs » au chapitre VI : « Or l’imitation d’une action, c’est une fable ; j’entends ici par « fable » la composition des faits, et par « caractères moraux » (ou moeurs) ceux qui nous font dire que ceux qui agissent ont telle ou telle qualité. »).
    Idéalement, la fiction classique (théâtre du XVIIè, ciné des années 30 à 60 et séries depuis les années 2000…) appâte son public avec une intrigue mais vaut vraiment pour son action que le spectateur retiendra comme la profondeur d’une expérience humaine. La mécanique se met ainsi au service de l’émotion et de l’humain. Exemple type, le Faucon Maltais de Dashiell Hammett (et son adaptation par John Huston avec Bogart), œuvre emblématique du récit noir, centrée autour de la poursuite d’un trésor par un détective et des gangsters (l’intrigue) mais qui finit, une fois qu’on a compris que le trésor n’existe pas, par une grande scène de couple où le héros explique à la femme qu’il aime qu’il est obligé de la livrer à la police (l’action).
    En ce qui me concerne, je n’arrive plus à revoir les deux premières saisons de Twin Peaks, que je trouve vraiment trop prisonnières de l’intrigue policière et des rebondissements. Inversement, j’adore Buffy contre les vampires, dont je connais les twists par coeur mais qui me surprend à chaque nouvelle vision par la finesse de son écriture et la richesse de ses personnages.
    Pour retourner au jeu de plateau (ou jeu vidéo) la question, que j’ai déjà dû poser ailleurs sur ce forum, serait : dans quelle mesure le jeu peut-il ou veut-il échapper à la mécanique ? C’est d’abord par la mécanique qu’on définit le jeu, JdR compris. En ce qui me concerne, je n’ai pas encore trouvé de jeu narratif qui atteigne le niveau du « rejouable » comme je peux retourner vers une pièce de théâtre, un roman, un livre, un film, une série pour l’intensité de son action plutôt que pour l’efficacité de son intrigue.
    Qu’il s’agisse des jeux d’enquête type Sherlock, Detective, Obra Dinn ou Golden Idol, des escape à la Unlock, des jeux narratifs à la Telltale, DontNod, ou même de RPGs à la Disco Elysium ou Baldur’s Gate 3, on est toujours pour moi dans une mécanique avant d’être dans une identification humaine. Je n’ai pas l’impression que les recherches « narrativistes » modernes du JdR papier qui iraient dans ce sens, aient abouti à une œuvre vraiment convaincante dans ce domaine.
    En toute sincérité, je ne demande qu’à être contredit.
    De même, qu’une grande œuvre de fiction traditionnelle est d’abord construite autour de la structure psychologique des personnages, il faudrait un jeu qui mette au centre de sa mécanique l’humain et notamment la psychologie du ou des Personnages Joueurs.
    Evidemment, j’ai tenté de mon côté de passer de la théorie à l’action avec mon propre jeu A Street Story (https://astreetstory.com/), plus centré sur les personnages, leurs psychologies et offrant des chemins narratifs très divers, mais je ne prétendrai pas y être absolument parvenu pour autant, et je continue de creuser la question.

  8. Hello la team Proxijeux,

    Je me permets juste une remarque sur votre position quant à la Fresque du Climat. Hélas ce n’est pas un Serious Game et personne dans cette association ne le prétend. C’est dommage que vous « descendiez » cette initiative citoyenne bénévole et apartisane sans avoir même pris le temps de vous y intéresser.
    En effet, il s’agit d’atelier de sensibilisation car le climat est un sujet qui n’est absolument pas un jeu. L’approche est plus fun qu’un séminaire mais toutes les données sont sourcées, scientifiques et proviennent des études du GIEC depuis plus de 30 ans. L’atelier permet à tous d’accéder à l’information (les politiques devraient tous passer 3h en fresque).
    Pourquoi d’autres fresques sur d’autres sujets ? C’est que le média utilisé parle aux gens et est populaire, c’est toi simple. Alors pourquoi bouder son plaisir et permettre au gens d’apprendre !

    C’est cocace car vous finissez l’intro par : « Les gens préfèrent avoir un avis que de se renseigner. » Je vous crois plus malin après toutes ces années à écouter vos émissions de qualité. Car vous admettez porter un jugement sur un truc que vous ne connaissez pas ou font vous avez vaguement entendu parler.

    Sinon je vous souhaite encore de belles années de réussites et de podcasts.

    Jeremy

  9. Bonjour,

    Premièrement je rejoins le commentaire de Jérémy.

    Deuxièmement merci globalement pour votre dossier malgré ces quelques digressions.

    Et pour le Pionfesseur, rejouer c’est parfois aussi changer d’idée sur un jeu… Il m’a fallu plusieurs parties de Catane pour le comprendre à défaut de réellement l’apprécier… Ce qui semble aussi le cas pour ce chroniqueur pour Lama

    https://boardgamegeek.com/thread/2709318/dr-strangeknizia-or-how-i-learned-to-stop-rating-i
    https://boardgamegeek.com/thread/2781159/llama-the-most-misunderstood-game-in-existence

    Pour les jeux de cartes « traditionnels », rejouer c’est vouloir contrebalancer le hasard… Même si nous avons tous connu des soirées entières sans main où les adversaires enchaînaient les contrat mirobolants…

    Et pour finir un retour d’expérience…
    Il y a de cela longtemps, avec ma future femme nous sommes partis 9 jours en randonnée en itinérant avec comme seul jeu Schotten Totten. Nous l’avons poli à raison de 3 ou 4 parties chaque soir. Comme dans les parties de Tarot à l’université nous avons tenu le compte de nos victoires… Or avec ma femme il se produisait assez souvent le phénomène suivant : au cours des premières parties j’intuitais mieux le jeu qu’elle et mon taux de victoire était très supérieur au sien. Mais au fur et à mesure de notre périple, ma femme intégrait de mieux en mieux les subtilités du jeu et inversait la tendance de % de victoires… Nous avons vécu quelque chose de similaire avec le jeu Alexandros de Colovini dont l’abord initial n’est pas évident… Les cartes laissent croire à un jeu à forte composante de hasard quand la maîtrise peut être très forte ( https://forum.trictrac.net/t/alexandros-un-jeu-sacrifie-par-un-probleme-de-regles/29398/21?page=2) Pour conclure, en fonction du profil de joueur, de ses aspirations, rejouer est, pour certains, indispensable… Avec ma femme nous avions souvent cette divergence entre polir un jeu pour elle et découvrir pour moi…

    J’espère au plaisir de vous croiser à Cannes,

    Laurent

  10. Salut l’équipe.

    Je joue en asso, beaucoup souhaitent pour ne pas dire l’ensemble des joueurs veulent jouer aux nouveautés. J’avoue qu’après la première partie j’aimerai enchainer avec une seconde, j’ai souvent du mal à assimiler du premier coup l’ensemble des règles que l’on m’explique, la première partie est pour moi une découverte de ce que nous pouvons réaliser dans le jeu, j’aimerai une seconde partie pour profiter réellement du jeu et y prendre plus de plaisir. Savoir écrire un livre de règles n’est pas simple, il en est de même pour les expliquer aux autres joueurs. Souvent, à la fin des explications de règles, je demande quel est le but du jeu .J ‘apprécie d’expliquer les règles d’un jeu que je connais et ça ne me dérange pas, de ne pas y jouer pendant que les autres jouent, car j’ai constaté que celui qui explique les règles tout en jouant ne profite pas totalement de sa partie. A bientôt. FRED

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