On sait que vous aimez les couleurs. Choix des pions en début de partie, problèmes de jeux non adaptés aux daltonien·ne·s, marron des illustrations de jeux allemands… Pour notre dernier épisode format interview de 2019, on s’est dit que nous allions donc être colorés, et même doublement. On reçoit donc Timothée Leroy, CEO de Blue Orange.
Pour nous soutenir, nous remercier ou encore nous encourager, vous pouvez le faire via Tipeee (https://www.tipeee.com/proxi-jeux) ou PayPal (https://www.paypal.me/proxijeux)
3:39:12 - Télécharger le fichier mp3
Vous pouvez « streamer » notre podcast ou vous abonner à notre flux iTunes. Si vous nous appréciez, notez notre Podcast dans iTunes et laissez-y un commentaire ! Sur Android, nous vous recommandons d’utiliser l’application (gratuite) Podcast Addict.
Commentaires sur l’interview précédente
Le retour habituel sur les commentaires de l’épisode précédent, durant laquelle l’équipe de l’est recevait Thibault Gruel.
L’actualité ludique
Dans l’actualité du mois :
- Les Aventuriers du Rail sur Alexa (l’article Ludovox sur le sujet)
- JR Honeycutt soupçonné d’agressions sexuelles – des affaires similaires dans le monde du jeu vidéo ; le post Medium de Victoria Mann (attention, des situations difficiles y sont présentées) ; un post Reddit synthétique et avec pas mal de liens
- Wingspan au service d’œuvres caritatives – un message sur le site de Stonemaier Games
- Errata sur Tapestry
- Le résultat des Lys d’Or 2019
L’invité
Blue Orange, c’est quoi, c’est qui ?
Petit historique sur la naissance et l’évolution de l’entreprise. On commence par parler du démarrage, des premiers jeux, de l’arrivée et des premiers contacts dans le milieu, puis de la rencontre avec Thierry Denoual en 2013. On essaie aussi de démêler les entités, entre Jactalea, Blue Orange, Blue Orange USA… On fait un petit point sur les différences entre les boîtes américaine et française, et sur la présence de Blue Orange à l’international.
Le livre recommandé par Timothée, Factfulness, d’Hans Rosling.
Un jeu Blue Orange, c’est quoi ?
On tente ensuite de déterminer ce qui définit un jeu Blue Orange, entre part d’abstrait, visuels colorés, manipulation du matériel ou encore public assez familial.
Le cas Kingdomino
On s’attarde ensuite sur le plus grand succès de Blue Orange, Kingdomino. On commence par parler de son développement avant de poursuivre sur ce que son succès (rappelons qu’il a gagné le Spiel des Jahres en 2017) a entraîné chez Blue Orange : image de l’éditeur, évolution sur la structure de l’entreprise, tournois, extensions, spin-offs…
Les valeurs de Blue Orange
Le site indiquant comme punchline « Hot Games for a Cool Planet », et certaines pages du site étant dédiées aux valeurs de l’entreprise, nous terminons l’interview sur ces dernières. On les évoque dans ce qu’elles supposent, mais on discute aussi de leur effet concret et des contradictions qu’elles peuvent soulever.
La question Philibert
N’oubliez pas la question Philibert vous permettant de bénéficier d’un code promo de 5€ à partir d’une commande de 40€.
Oui, je confirme que l’idée du château central est une idée de Sébastien Pauchon.
Le jeu pour le grand massif était un 4×4, plus simple ( une couleur de moins et pas de numéros au dos des dominos), parfaitement adapté à la cible (des gens qui reçoivent le jeu sans aucune culture ludique)
J’ai développé ensuite le jeu pour le marché des jeux de société, en passant à un 4×6, avec le nombre de couleurs actuel et les numéros au dos des tuiles, ce qui donne un intérêt bien plus important au jeu.
C’est donc Seb, qui m’a proposé de passer de 4×6 = 24 à un 5×5 avec une case « joker » qui est devenue le château central.
Hello !
Si ça peut rendre service : nouveau visuel OK de mon côté sur Apple Podcast, également sur les notifs.
A +
Interview particulièrement intéressante !
Je ne me rappelle pas avoir déjà entendu une interview de Timothée Leroy, un bon choix, c’est un excellent « client ».
Bonne chance à lui et à Blue Orange pour la suite des leurs aventures, que je suivrai avec davantage d’attention.
Idem, super interview et jamais entendu le M. non plus.
J’ai bien aimé sa démarche en mode « si ça peut inspirer d’autres », très positif, bravo !