[Dossier] Ce qu’on déteste dans les jeux de société

20 nombreux commentaires pour [Dossier] Ce qu’on déteste dans les jeux de société

1. En rapport au micro famille, je répondrai à la maman outre le fait de l’apport culturel et intellectuel de ce loisir que l’on ne produit certe pas grand chose pour la société mais certainement la chose la plus importante pour l’humanité : le bonheur. 🙂 pour ce qui est de la simplification des règles de jeux, je ne suis pas d’accord de favoriser cette paresse intellectuelle qui se développe dans tout les secteurs de la société. C’est sur que si on ne fait jamais d’effort,tout restera tjrs compliqué. Et on finira avec ce qui a fait que personne ne s’intéresse au monde ludique le trouvant trop enfantin. On aura juste remplacé le Uno par skyjo.. ^^’

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   1. Je trouve que partir d’une pratique des jeux de société pour juger que quelqu’un « ne fait jamais d’effort » un peu grossier. Il s’agit d’un equilibre dans sa vie. Bien souvent, si une personne apprecie les jeux légers, c’est que dans autres domaine de sa vie elle se torture beaucoup. Il est vrai que j apprécie les jeux plus cadré ou avec plus de profondeur. Et cela n’est pas grave. Je ne joue simplement pas avec les joueurs souhaitant des jeux d’ambiance sans prise de tête. C’est le cas de mon beau frère qui met énormément d’effort dans sa vie professionnelle et qui a besoin de légèreté lors de fêtes de famille. Fait-il « jamais d’effort » ? Oserais-je dénigrer un parent qui vient de passer sa journée à gérer les 36 « merveilleurses » idées à la minutes des ses enfants et rebondir sur les 12 imprévus de la journée, sous prétexte que quand il a enfin une pause où son cerveau peut s’accrocher à quelque choses de stable pendant 20, de « ne pas faire d’effort ».
      Puis-je juger l’étudiant qui passe ses journées et ses week-ends à digérer les différentes matières, de « ne pas faire d’effort » sous prétexte qu il ne souhaite pas jouer à quelque chose de complexe ?

      En ce qui concerne la lecture des règles, j’ai pour ma part beaucoup de mal.
      J’ai par contre énormément de facilité à organiser les espaces et le temps. Même si il existe sûrement des milliers de personnes encore plus doués que moi, je penses que je dois me trouver dans les 1% de personnes à l’échelle de l’humanité dont c’est le talent.
      Mais les règles sont très souvent difficiles à lire pour moi. Elles sont, pour ma logique, écrites à l’envers. J ai d’abord besoin de connaître le vrai but du jeu : avoir le plus de points apres x tour, vider ma main, être le premier à avoir x bâtiments, etc. Puis, j’ai besoin de garder le fil : comment vider ma main, comment gagner des points, etc. Le fait que cela me soit pénible de lire les règles fait il de moi quelqu’un qui ne fait pas d’effort ? Ce qui est difficile pour les uns est pourtant fluide et intuitif pour d’autres.

      Pourriez-vous m’accorder de l’estime ainsi qu’à mon beau-frère pour des talents qui ne sont pas les mêmes que les vôtres ?

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2. La thématisation bidon, si ce n’était que dans les jeux abstraits!
   A Codenames, le thème n’a qu’un seul impact: réduire la lisibilité dans un sens de lecture.

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3. Au RIJ 23, je crois que c’est Ludovox qui avait noté que 30% des sorties étaient des jeux sous licence.
   La tendance du thème ou univers décoratif +/- réussi et pertinent est hélas en vogue. Je vous rejoins pour dire que ce n’est pas toujours au service du gameplay et la qualité au sens large (c’est une litote).

   Pour les jeux abstraits, il y a pourtant une longue tradition de jeux avec des matériaux de qualité. Avoir un magnifique jeu d’Echecs qui trône sur le guéridon est même un marqueur social.
   On pourrait imaginer un système de licences sur les jeux abstraits. Chacun pourrait en produire avec les matériaux de son choix, moyennant un % pour les ayant-droits.

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   1. Bonjour et encore merci pour cette belle discussion ! Et la chanson post générique… hihiiii
      Pour ma part, il y a bien évidemment plein de trucs qui m’agassent dans cette magnifique passion du jeu 😉 , mais 1 en particulier c’est ce thème qui compose 3/4 des jeux notamment de gestion : le développement de sa civilisation.
      Quel thème de merde, qui au pire prend des relents historiques coloniaux et au mieux nous propose du Elon Musk en colonisant d’autres planètes avec toujours la même trame d’utilisation des ressources du milieu naturel et conquête de territoire. Je n’en peux plus et me refuse à acheter un jeu sur ce thème du siècle dernier. Autant les jeux qui surfent sur les thèmes pseudos « écolo » ne m’attire pas, autant il faut admettre qu’en 2024, ce thème de développement de civilisation est complètement dépassé et ne vend plus du rêve. Ou si c’est encore le cas, il est toujours temps de faire évoluer nos imaginaires, et la culture, dont le jeu de société fait partie, est une part importante, révélatrice de nos imaginaires désirés et à son rôle à jouer. Encore une fois, pas besoin de jouer l’éditeur écolo pour proposer un thème qui nous sort un peu de ce marasme colonial et de cette quête de puissance civilisationnelle à savoir si j’arrive à avoir la plus grosse… . 2 exemples :
      – Spirit Island bien évidemment qui propose cette géniale expérience de jouer les esprits qui se défendent des colons sans tomber dans le thème écolo nunuche.
      – Autre exemple encore plus marquante pour moi : Le clan des loups. Un jeu qui propose la même logique d’expansion, de colonisation (les tanières qui deviennent des antres pour gagner des territoires). Un jeu qui aurait pu reprendre n’importe quelle époque coloniale ou de construction de civilisation mais qui propose avec beaucoup de brio, un imaginaire tout autre, un simple décalage de proposition, un simple recul pour ouvrir son imaginaire et proposer autre chose que l’évidence enraciné dans l’habitude de « je vai créer ma super civilisation plus forte que les autres ».

      Malheureusement, le tout récent Daybreak, qui semble vouloir bien faire, finit par nous faire un mixe de jeu « écolo » (où l’énergie nucléaire est vue comme propre…), et de technosolutionnisme où c’est encore en développant nos supers grosses technologies qu’on va sauver la planète. Double zut. Hihiiiii

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4. Cette histoire de la thématisation de Insert/Donuts est très triste, je trouve, je vous rejoins tout à fait. Les thèmes des jeux de B. Cathala m’ont presque toujours semblé ultra plaqués; on devine sans peine la mécanique derrière une mince façade thématique. C’est encore plus vrai ici: ce jeu se serait bien prêté à une édition abstraite.

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5. Intéressante chronique sur les jeux à mécanique abstraite avec ou sans thématique.

   Je constate encore des écarts de définition , voici celle que je retiens , employée en théorie des jeux :

   1. sans hasard (pas de pioche, pas de dés…)
   2. à information parfaite et complète au moment de chaque prise de décision (pas d’action cachée, pas d’éléments de jeu cachés)
   3. jouables a 2j

   Donc non, certainement pas Azul 😉
   Mais Quoridor oui évidemment (à minima quand on y joue à 2 … )

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6. Au sujet du thème , même si j’adore QUARTO ou PUISSANCE 4, personnellement je préfère lorsque les jeux mécaniquement abstraits ont un thème , car cela permet :
   – une meilleure immersion ,
   – plus de fluidité dans les règles, et
   – plus de facilité à jouer certains coup à l’instinct (plutôt qu’en calculant)

   SANTORINI est un exemple parfait de jeux abstrait avec un thème qui me paraît indispensable.

   Mais j’aurais pu citer CAYLUS, TERRA MYSTICA ou PATCHWORK.

   … Ou les ÉCHECS. il y’a bien un thème dans les échecs , vous ne trouvez pas ? Un roi , sa cour et des pions , tous ligués contre une nation adverse, tentant de mettre leur monarque à mort …

   Ce qui gêne quand on thématise les échecs avec star Wars , c’est que l’affect envers un personnage nommé (luke, yoda, vader…) est plus fort qu’envers un rôle (fou , cavalier). Mais c’est juste lié au degré de thematisation ^^

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   1. Tout à fait d’accord. Personnellement, le thème me permet de me raconter une histoire et je trouve que la manipulation des mécaniques vient plus facilement.

      Parfois, je m’invente même un thème pour mieux saisir l’agencement de mécaniques. J aime beaucoup les rethematisation fan made comme Regicide en Pokemon ou Vendredi en One Piece. La mécanique a plus de sens alors.

      For Northwood aussi : c est juste un jeu de carte, mais me dire que j’essaie de rallier à ma cause les différents fiefs donne tout le sens au fait de « perdre » certains plis : il faut parfois laissez l’autre gagner pour le rallier à sa cause. Ce que je n avais pas du tout compris dans Renard des bois par exemple.

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7. La notion de degré de thematisation rejoint votre discussion sur le thème plaqué … cela mériterait un approfondissement je pense. C’est une notion très subjective je trouve , j’en arrive à penser que tous les jeux thématiques ont un thème plus ou moins bien plaqué à la mécanique. Quand l’adéquation thème / mécanique est bonne (Évolution, Bloodrage, Raptor, Root, Cyclades, Northgard…), je me sens transporté dans un univers : on peut parler d’une forme d’immersion

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8. Ce que je déteste, c’est les boites vides et qui ne proposent aucun rangement, type Air Postal de chez Platypus Game en 2023.
   Jeu que j’ai juste déballé, je n’y ai pas joué, écoeuré par ce manque de rangement. Une quantité de cartes que tu ne peux ranger car pas d’emplacement sauf à les mettre dans des sacs plastiques ou autres boites acheter à côté.
   Pour revendre le Jeu et afin que l’acheteur ne galère pas dans le tri des cartes, j’ai dû les ranger dans 22 enveloppes papiers différentes.
   Gros foutage de tronches de la part de cette éditeur.
   Quitte à ne prévoir aucun rangement, les éditeurs pourraient imaginer la création de patrons origamiques pour leur jeu ou fournir les origamies prêts à plier et si je pousse le bouchon un peu plus loin, pourquoi ne pas proposer des origamies illustrées par des illustratrices à l’image du jeu. En retirant les formatages plastique ou même en carton, le surcoût ne devrait pas être si élevé que cela.

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9. Pour palier au vide et/ou au thermoformage non dimensionné pour des cartes sleevées, j’utilise parfois des boîtes à chaussures que je décor avec des impressions :
   – parks : sleeve et extension, tout est resté dans la boite, mais j ai enlevé le thermoformage pour faire mes propres rangement en origami
   – carcassonne : boite à chaussure et origami par extensions
   – la série onivers : tout dans une boîte à chaussures et chaque jeu à son origami
   – paleo : toutes les extensions dans la boite principale et origami
   – unlock (je les garde pour mes enfants) : j ai « emballé » trois couvercle de boîtes (celles dont on a besoin pour jouer) dans du papier cadeau uni. La couleur détermine la difficulté des scénario. Pour le moment, les scénario de toutes les boîtes tiennent dans ces trois boîtes.
   – etc.

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10. Merci à l’équipe pour ce nouveau dossier, toujours plein d’humour.

    Je vais me targuer d’un commentaire pour vous prendre à contre-pied, et je vous dire des choses que j’aime dans les jeux de société.

    J’aime l’impatience que j’ai d’ouvrir une nouvelle boite que je viens d’acquérir.
    J’aime la sensation du toucher lors du dépunchage.
    J’aime faire découvrir des jeux, en particulier aux néophytes.
    J’aime observer mon installation d’un jeu avant le début d’une partie.
    J’aime entendre dans le silence d’une partie complexe les tics de stress et de réflexion de mes adversaires.
    J’aime l’illumination dans le regard d’une personne qui trouve la solution pour se débloquer.
    J’aime annoncer ma combo que je prépare depuis 3 tours.
    J’aime réussir le troisième objectif de Perfect home avec moins de 60 points.
    J’aime le rire de ma fille lorsque la boite de jeu fait un bruit de flatulence lorsque je la ferme.
    J’aime lorsque l’on me propose de refaire juste une dernière partie.
    J’aime lorsque le débutant m’annonce que le jeu est à 20€ sur amazon et que je lui conseil la boutique locale.
    J’aime lorsque le surlendemain, il m’envoie une photo avec 3 jeux qu’il a acheté à la boutique.

    Mais surtout J’aime le Vendredi 🙂

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11. Salut les mécontents,

    Comme forme de boîte bizarre, j’ai tout de suite pensé à « 5 minutes Dungeon » avec une boîte en forme de sablier, on se moque de qui ?

    Pour les jeux abstraits, je dois avouer que ça ne me fait ni chaud ni froid du moment que le thème / graphismes, ne gênent pas la lisibilité et le gameplay du jeu ( comme okiya, megalopolis ou mr Jack packet).

    Et je dois reconnaitre qu’un quarto posé au milieu d’une table, en plus d’être un excellent jeu, c’est aussi un joli objet de déco !

    J’adore les quizz P-J et féliciations aux personnes qui se mettent à la chanson dans l’équipe, faut un sacré cran.
    A quand le « proxi-band » ? 😀

    Moi, ce que j’aime pas, c’est le matos inutile et surproduit à outrance juste pour vendre un jeu plus cher !!!!!

    A bientot

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12. Plusieurs remarques :
    – dans plusieurs jeux, l’élément thématique influe sur mon jeu, mais ce n’est pas dans un jeu abstrait. Dans n’importe quel jeu avec une carte, je vais préférer aller dans une ville que je connais ou préférer l’Espagne (mes origines). Dans les jeux de collections, je vais viser des objets qui me touchent, des animaux que je préfère : le thème influe !!

    – Vous avez parlé des jeus abstraits sans citer le projet Gipf. C’est fait.

    – Ce qui m’agace le plus avec le thermoformage, c’est quand il ne permet un rangement adéquat du jeu. Un exemple me vient en tête : Quadropolis : il y a de la place pour ranger les tuiles, mais les sections sont trop petites pour ranger toutes celles du même tour, donc obligé de mélanger.. agaçant !

    – Les gros jeux dans une grande boîte, j’en vois une raison commerciale dont vous n’avez pas parlé. Les jeux sont je pense souvent des cadeaux qui seront offerts, et j’imagine que la taille du paquet est un facteur de « bon-cadeau ».

    – En plus de collectionner les jeux, je collectionne les CD (faciles à ranger) et les BD : et bien, pour les BD, il y a aussi une différence de formats qui te casse bien les .. cohérences de ton rangement.

    – Je n’ai rien coché à commenter sur le pamphlet de Cyrus. Je ne pense pas qu’il soit dans le Wright ..

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13. Bonjour,

    Merci pour vos analyses. Comme dit plus haut personne ne peut tous les partager.

    Je rejoins DDexter sur les jeux de civilisation et de développement… A ce propos je vous invite à lire ce petit texte à propos d’un jeu de gestion que j’ai créé et qui s’il peut servir de support à du jeu sérieux a aussi été très apprécié en 2022 dans la section jeux de demain decPEL : un jeu de gestion non exponentiel qui essaye de tRaduire les contraintes réelles et actuelles de nis écosystèmes agricoles :
    – https://laurent36.typepad.com/blog/2022/07/in-circulo-jeu-coop%C3%A9ratif.html
    – https://interactions-culture-elevage.colloque.inrae.fr/content/download/547/5412?version=1
    – https://interactions-culture-elevage.colloque.inrae.fr/content/download/638/5710?version=1

    Et pour la thematisation des jeux abstraits, je suis plus partagés que vous. Dans un certain nombre de cas elle est utile pour soutenir le jeu. Kang, avec des kangourou sauteurs permet de mieux visualiser les mouvements par bons successifs des pions. Donuts, je n’aime pas l’habillage mais l’ergonomie est préservée et même meilleure que sur le proto sans thème de Bruno.
    Là je travaille sur un jeu abstrait (que j’ai proposé au FLIP comme créateur on verra bien…) qui utilisent des formes travaillées par des mathématiciens qui travaillent sur le pavage du plan… ils ont nommés certaines formes Le Spectre, Le Chapeau, La Tortue. Ce n’est pas pour rien. Cela aide énormément à visualiser le jeu… J’ai du m’adapter et passer à une « thematisation » qui intègre une de ces formes (La Tortue)… Alors là pourquoi ne pas imaginer pousser un peu plus loin (en particulier pour avoir un titre invariable suivant les langues ?)…

    Si cela vous intéresse, les 3 formes successives des règles

    – la règle initiale : https://www.dropbox.com/scl/fi/i1wrttfjlj61kp1pktqsn/Ghostbuster1.0.pdf?rlkey=fcdfuuw1mi9a45xkiciafcdg8&dl=0
    – l’adoption dune thématisation (bidon je l’avoue) avec la tortue : https://www.dropbox.com/scl/fi/35cwlave45ybygz6s846c/Tortues-vagabondes-1.2.pdf?rlkey=ttrgpg2tbqjehd7ha5svd7mlh&dl=0
    – et en poussant un peu plus loin (je suis berrichon d’origine) : Cistude : https://www.dropbox.com/scl/fi/i3b17w91jqrx9ojq9df64/Cistudes-1.3.pdf?rlkey=n38k8dtstmjdf4v68i97ajdlt&dl=0

    Une photo de fin de partie : https://www.dropbox.com/scl/fi/oh6znlie9dhjwpeltd9x6/test-19-04-2024-cistude.jpg?rlkey=gbt4vz13k50gk3h24io7n9udq&dl=0

    Encore merci pour vos émissions !

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14. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Jeu_de_strat%C3%A9gie_combinatoire_abstrait

    Alors on peu toujours discuter autour d’une définition mais je suis plutôt d’accord avec cette définition. Zéro Hazard, information complète et du coup potentiellement plus que 2 joueurs

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15. Bonjour !

    Super dossier.

    J’ai un exemple de jeu abstrait avec un thème présent : Photosynthesis.
    Aucun hasard, aucune info cachée, chacun joue à tour de rôle mais le thème est très présent (arbres qui poussent, gestion de l’ombre et des points de lumière en fonction de la taille des arbres)

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16. Cool émission, merci.
    Par contre comme d’autres, je ne suis pas d’accord pour dire que le jeu abstrait classique est sans thème. Quand j’étais petite, je ne jouais aux échecs que parce j’adorais ce jeu où la reine était toute puissante et devait protéger le roi bien faible. J’imaginais toujours que c’était le reine qui donnait des ordres à tout le monde. Dans mon imaginaire, ce jeu était le top du féminisme !
    Sinon moi ce que je n’aime pas dans les jeux de société, c’est quand ma famille ne veut pas jouer avec moi…

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17. Super émission, merci.
    Concernant les jeux abstraits je crois surtout comprendre que c’est l’élégance du graphisme contre la charge du dessin qui déplait à certains (dont JulienN).
    Très drôle sinon ce petit bilan sur le Roule/Tourne et Gribouille alors que peu de temps avant nous entendions la chronique de 2018 du Pionfesseur qui se faisait rêver en imaginant tout ce qu’on pourrait faire avec… Au vu de votre bilan peu de jeux en ressortent et la créativité ludique n’en est pas ressortie grandie.
    Enfin concernant les boîtes c’était un peu triste cette idée que dans les ludothèques les « petits » jeux se faisaient oublier. Personnellement je les met en vrac dans des cartons ouverts de fruit et légumes, ce qui empêche de les voir de loin, mais du coup attise la curiosité car on peut fouiller dedans sans savoir ce qu’ils contiennent, comme si on ouvrait une malle de grenier remplie de trésor.

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