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N°103 – Chroniques

En ce début d’année, les Lennon et McCartney du j2s, aka ddschutz et Polgara, vous proposent de les accompagner dans le bus de leur Chronical Ludi Tour et vous présentent les chroniques pour les joueurs de 3 à 99 ans.

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Comment together

Right now, over me.

All you need is Cannes

Du 22 au 24 février au Palais des Festivals, retrouvez la Proxi-Team sur son stand 05.06 (à côté des bonbecs !).

Plateaux numériques

C’est un jeu abstrait que Fendoel passe en revue cette fois-ci dans l’épisode des plateaux numériques : Onitama.

Sobre et pratique

 

Waow ! Ya même des ombres !

Les liens utiles:
App Store
https://itunes.apple.com/us/app/onitama-the-board-game/id1288557147

Play Store
https://play.google.com/store/apps/details?id=com.asmodeedigital.onitama&hl=fr

Philibert
https://www.philibertnet.com/fr/igiari/52051-onitama-vf-3558380047254.html

Si le jeu m’était conté


Depuis des millénaires, le cycle du jour et de la nuit s’est figé sur la minuscule planète Solenia, plongeant son hémisphère nord dans une obscurité permanente et son hémisphère sud dans une clarté ininterrompue. Bartolomé, vivant au sein du jour infini, a été choisi pour ramener la pierre et l’eau qui leur fait défaut mais qui sont en profusion dans les régions de l’éternelle nuit. Il va découvrir le merveilleux monde qui l’entoure et notamment rencontrer le peuple de l’obscurité qui eux manquent cruellement de bois et de blé. Il va vite se rendre compte qu’ils sont en conflit permanent et qu’ils ne faut pas forcément récupérer uniquement les ressources qui sont a priori inutiles pour sa communauté.
Retrouvez dès à présent sur toutes vos tables et soirées Solenia, un voyage réalisé par Sébastien Dujardin et organisé par Pearl Games.

♫ Méludique ♪

Ce mois-ci, alors qu’une vague de froid s’abat sur la France, vous avez des envies d’aventure ! Ça tombe bien, Lynriia vous emmène en bateau explorer des contrées lointaines. Bon on ne vous dira pas qu’en chemin, avec sa chance légendaire, elle a réussi à s’échouer sur une île maudite… À la Robinson Crusoé, elle nous propose de garder le moral en musique pour réussir à survivre !

La réédition par Edge de Robinson Crusoé est actuellement en rupture de stock chez notre partenaire Philibert, mais elle devrait revenir très prochainement !
Les playlists des épisodes de Méludique sont toujours disponibles et écoutables à volonté sur notre chaîne Youtube.

Les petites boites dans les grandes

Entre aller se la couler douce à la Taverne ou aller combattre des Yarls le choix est dur pour notre équipage.

Ce mois ci, Astien va essayer de ne pas abuser de l’hydromel et poser sa hache de guerre le temps d’une chronique. Il a décidé de vous parler des 2 extensions de Pillards de la Mer du Nord : « Taverne des héros » & « Champs de Gloire« . Alors installez-vous confortablement dans vos Drakkars et apprêtez-vous à partir en mer nordique.

Taverne des Héros
Taverne des Héros
Champs de Gloire
Champs de Gloire

Joueur d’ailleurs

C’est aux auteurs de jeux allemands et à leur association SAZ (Spiele-Autoren-Zunft) fondée en 1991 que Hammer consacre sa première chronique de 2019. Entre autres choses, il nous raconte comment, en 1988, une poignée d’auteurs réunis autour de Reinhold Wittig en marge du salon de Nuremberg ont signé un document fondateur (un sous-bock !) sur lequel ils affirmaient leur volonté de voir leur nom apparaître sur les boîtes de jeux…

sous-bock
Le fameux sous-bock de 1988 porte les signatures d’illustres auteurs…

On peut y lire : « Proclamation du jeudi – 1988 – Aucun d’entre nous ne donne un jeu à un éditeur si notre nom n’apparaît pas en haut de la couverture de la boîte ». Y apparaissent les signatures de Reinhold Wittig, Helge Andersen, Hajo Bücken, Erwin Glonegger, Dirk Hanneforth, Knut Michael Wolf, Wolfgang Kramer, Joe Nikisch, Gilbert Obermeier, Alex Randolph, Johann Rüttinger, Roland Siegers et Ilse Dreher-Plonka.

Le mot allemand du jour : das Perlhuhn – la pintade. Mais saurez-vous trouver le rapport avec le contenu de la chronique ? Car il y en a un… cherchez-bien et n’hésitez pas à donner votre réponse dans les commentaires pour gagner… l’admiration des chroniqueurs !

Les Analyses du Pionfesseur

Ce mois-ci le Pionfesseur va sortir du contexte du jeu lui-même et plutôt parler de ce qu’il y a autour c’est-à-dire les conditions de jeu.

 

 

Joueurs nés

Ce mois-ci, Polgara vous invite dans la Chronique dont vous êtes le héros et vous recommande, afin de retrouver les frissons des Défis fantastiques de votre enfance.

Avec les plus jeunes, on lira le soir avant le coucher En quête du dragon – Ma première aventure  :

Les 3 héros que les joueurs pourront choisir d’incarner
Le découpage des pages permettant à la joueuse de choisir sa voie

Avec les plus grands, on se prendra pour des pirates en explorant des îles à la recherche de trésors dans Kuala (ex Baïam) :

Une boîte bientôt collector ?
Quel pirate en herbe choisirez-vous d’incarner ?

Nostal’JDR

Malk vous renvoie en enfance avec ce jeu qui va vous permettre de revivre certains de vos dessins animés favoris ! Cosmo ! Cosmo ! Cosmo ! Cosmocats ! Oh !

Les maîtres d'Umdaar la couverture - Logo Csmocats
Allez-vous mériter le titre de Cosmocats ou rester un Cosmochaton ?

Les maîtres de d’Umdaar version papier et pdf sur Philibert

FATE – Accéléré version papier sur Philibert

Le PDF de Fate Accéléré sur le site de l’éditeur

 

 

Ludo Incognito – Le placement d’ouvriers

Le placement d’ouvriers est une mécanique intrinsèquement liée à ses aspects matériels et thématiques. Il est temps de se consacrer aux protagonistes principaux : les ouvriers-eux mêmes.

Les ouvriers d’Agricola (édition famille), Ex-Libris, The Manhattan Project et Chimera Station

Le constat n’est pas rose. Le placement d’ouvriers fait bien peu de cas de sa force ouvrière : sommairement représentée, sans identité, sans évolution, vouée à obéir et secondaire à l’intrigue. Il faut se rendre à l’évidence : le pion-ouvrier n’est pas un personnage mais une simple ressource à forme humaine. Triste sort…

Les jeux cités dans cet épisode : The River, Ex-Libris, Agricola, The Manhattan Project, Praetor, Chimera Station, Euphoria.

Kaigai Games

Ce mois-ci, Izobretenik fait encore un petit passage par le Japon, pour découvrir le dernier jeu en date de l’éditeur bleu Oink Games. Déduction, bluff et rôles cachés sont à la fête dans cette petite boîte développée par la maison d’édition de Jun Sasaki. L’auteur est un nouveau venu dans son écurie, et porte le nom de Takashi Saito ! Un jeu malin et subtil, à ne surtout pas rater.

Une boîte identique à celles que propose toujours Oink Games, pour un prix lui-aussi fixe ! 2300 yens, et pas un de plus !

 

 

 

23 nombreux commentaires pour N°103 – Chroniques

  1. Petite réaction par rapport à la chronique d’Acariatre :

    J’en reviens toujours à Richard Breese mais c’est intéressant de voir que dans ses jeux qui étaient disons du proto-placement d’ouvrier (Morgenland et Keythedral), les « ouvriers » étaient représentés par des jetons avec un personnage différent par jeton ce qui leur donnait une très légère identité.

    Bon on est loin d’un background détaillé comme dans les jeux à l’américaine bien sûr ^^

    En tout cas constater l’évolution des bélligérants d’un jeu au sein des deux écoles (allemande / américaine) est fascinante et vraiment représentative de la sensation de jeu que souhaite faire passer chaque école. A noter que malgrès le fait qu’ils aient un background plus détaillé, les figurines des jeux à l’américaine sont parfois aussi les simples ressources des joueurs, typiquement de pauvres soldats envoyés au casse-pipe :p

    1. Salut @acariâtre ! (à moins que ce ne soit @lepionfesseur ? on s’y perd !)

      Je sais qu’il faut que je jette plus qu’un œil à l’œuvre de Richard Breese, ton lobbying va finir par payer. Une raison de plus donc car ke suis curieux de cette personnalisation des ouvriers.

  2. Hello la proxi team …

    Trop fier d’avoir été cité 2 fois dans votre debrief des commentaires, et sans écorcher mon nom 😉 😉 Et encore plus fort, j’arrive à poster un commentaire avant Tuin 😉 😉

    Chroniques en cours d’écoute, mais merci pour l’info sur Onitama, je vais peut-être moi aussi me laisser tenter, tout aussi radin que vous:-) 🙂

    DDSchutz, cite tes sources, le coup de l’Hammer-tume, déjà été fait dans nos commentaires du 102 🙂 🙂

    Merci encore à Hammer et au Pionfesseur pour leurs chroniques, toujours aussi intéressantes et/ou amusantes, même si je n’ai pas compris non plus l’allusion à la dinde 🙂
    Pas encore écouté les autres chroniques, mais cela ne saurait tarder !

    Pour mixer les sujets abordés dans ces chroniques et/ou les illusions aux buveurs de bières, à quand une chronique sur les meilleures bières à consommer avec/sans modération en fonction du jeu choisi ???
    Une desperados pour jouer à Wanted ? quid d’une Guillotine, d’une Kaastel ou d’une Mort Subite ???

    PhL

  3. En quoi le Monopoly n’est-il pas un jeu « moderne » ? (Déjà, ça ne veut rien dire, un jeu « moderne ».)

    Ensuite, *si* les gens s’amusent et passent du bon temps, est-ce que le jeu n’atteint pas son but ?

    Bien sûr, le jeu comporte des défauts, mais c’est le cas de la plupart des jeux, même récents. Bien sûr, il existe d’autres sensations. Pour autant, le jeu a été révolutionnaire et continue à réussir à rassembler une grande communauté.

    Quel est le jeu récent qui peut se targuer de telles qualités ?

    1. Il n’y a pas vraiment de date précise mais tout ce qui se situe avant les années 60, je le range dans le jeu de société « classique » et non pas moderne (et le Monopoly date des années 30).

      Pour le reste de ton commentaire en fait tout dépends de ce qu’on appelle un « bon » jeu et ça veut un peu tout et rien dire et comme je le dis dans ma chronique ça prendrai beaucoup de temps à expliquer tout ça.

      Toujours est-il que je suis persuadé que les gens aiment jouer au Monopoly uniquement parce qu’ils n’ont jamais eu l’occasion de découvrir d’autres jeux. C’est comme si à l’heure actuelle la majorité des gens jouaient à Pong alors qu’il existe une offre pléthorique de jeux vidéo.

      1. Et penses-tu qu’il existe des gens qui connaissent les jeux de société modernes et qui apprécient Monopoly ? (vraie question)

        1. On ne peut pas dire que c’est strictement impossible mais ça m’étonnerait qu’il y ait plus de 1% des joueurs de jeux de société modernes qui apprécient réellement une partie de Monopoly.

          Mais, et c’est là tout le sens de ma chronique, selon certaines conditions ça peut devenir appréciable. En y jouant pour faire plaisir à quelqu’un, en y jouant au second degré en se moquant de la chose etc etc …

      2. Est-ce que la modernité n’est qu’une question de date ? (Tu dis que ton critère c’est les années ’60.) D’autant que je suis persuadé que ce curseur sera placé à une date différente pour chaque personne qu’on pourrait interroger.

        Est-ce ce que « moderne » et « classique » sont des notions mutuellement exclusives ?

        Tu fais allusion à la notion subjective de « bon » jeu. Mais, justement, je rejette ce critère (et je n’en ai pas fait mention). Au lieu de cela je parle des differentes qualités que peut avoir le jeu. C’est tout à fait différent.

        Par contre, ce qui est certain c’est qu’il a été révolutionnaire en son temps, et qu’il a apporté beaucoup de patterns dont les jeux récents sont les héritiers. À partir de quand aurait-il cessé d’être « moderne » ?

        Au sujet des jeux qui ont marqué le XXe siècle, je conseille d’ailleurs l’écoute des épisodes 72, 74, 76, et 78 du podcast « Ludology » (et surtout le 72, qui couvre les année 1900-1960).

        Si l’appellation « moderne » ne sert qu’à identifier les jeux sortis après 1960, alors elle est complètement creuse, car il faut aussi y ranger « Trivial Poursuit » (1981), « Hippo Gloutons » (1966, 2 ans après « Acquire »), « Trump: The Game » (1989), et plein d’autres daubes. Et comment ranger : « Risk » (1959), « Cluedo » (1949), « Stratego » (1946) … « Bridge » (1908) ?

        Non, je ne pense pas que le critère de la date soit pertinent. Et si ce n’est pas la date de publication qui caractérise les jeux moderne, comment les caractériser ?

        1. C’est clair que c’est très flou tout ça. D’autant plus que notre média n’est pas considéré comme culturel et qu’on a donc pas encore de figure d’autorité capable de nous dire comment est classé chaque jeu.

          Après je ne vois pas en quoi ma définition de moderne serait creuse si Trivial Pursuit et Hippo Gloutons sont dedans. Ce n’est pas parce que c’est moderne que c’est un bon jeu, il suffit de voir ce qui sort en supermarché :p

          Non en fait je pense que mon erreur à été d’utiliser tout simplement le terme « jeux de société modernes » dans ma chronique qui est un abus de langage pour désigner les jeux de société « underground », ceux qui ne sont pas forcément distribués dans le grand commerce (encore que, ils le sont de plus en plus). C’est un peu dur à expliquer simplement et malgrès tout je pense que tu vois de quoi je veux parler donc j’use et abuse du terme « jds modernes » mais si tu en connais un meilleur je suis preneur car je vois effectivement bien les limites de l’usage de ce terme.

  4. Salut les loulous,

    Je suis tellement content que vous parliez des commentaires en début de podcast. A force de laisser des commentaires et que vous y répondiez avec régularité et respect, cela a peut-être aidé d’autres commentateurs timides à se lancer et à partager leurs retours constructifs (et des petites blagues sympas aussi). Peut-être que je n’ai rien à voir avec cette augmentation de commentaires , peut-être est-ce plutôt un effet vertueux de l’épisode 100 et de ses nombreux commentaires. En tous cas, c’est super cool et merci à Polgara et DD.

    Je suis toujours aussi fan du travail sur les épisodes « Si le jeu m’était conté ». Le travail sur la musique en particulier, les petites allusions, tout ça c’est super – surtout pour un jeu qui a été couvert aussi souvent par la Proxi-Team, c’était beaucoup moins répétitif que je pus le craindre. Du coup, Solenia, c’est l’As d’Or assuré avec une telle couverture médiatique ? ;o)

    Le boulot sur Méludique est excellent. En plus, il y a le petit jeu de devinettes en intro. Allusion de DD : forcément c’est Vendredi ! Indication de Lynriia : Ah non, c’est forcément Galérapagos ! Ah ben non, c’est Robinson ! en plus, la mise en playlist Youtube est super facile d’utilisation. C’est vraiment trop génial !

    Je suis toujours un peu distant de la rubrique « Les petites boîtes dans les grandes », probablement parce que les jeux abordés me sont étrangers. J’ai l’impression que c’est pourtant bien choisi et bien documenté, même si c’est peut-être un poil trop focalisé sur le contenu et pas assez sur le ressenti. Entendons-nous bien, on parle bien de l’ambiance et de comment les extensions la modifie, mais je trouve que c’est présenté de manière anecdotique par rapport au reste.

    Joueurs d’Ailleurs : alors, là, félicitations. Je suis déjà bien fan de la rubrique, mais il s’agit d’u épisode qui fait un gros travail documentaire de fond sur un tournant de l’industrie du jeu, c’était une excellente idée et c’est une super réalisation. Et les interventions familiales apportent un contrepoint d’humour bien équilibré. Un coup de maître !

    Bon, je ne vais pas réagir aux exagérations quasi-trolesques du Pionfesseur, sinon après on va me mis-quoter et ça risque d’alimenter le bad buzz (qui est quand même du buzz, je le reconnais). C’est une bonne première introduction sur les conditions ou facteurs environnementaux sur la perception du hobby. Et ce n’est pas Cyrus qui risque de contredire cette approche. « Tout le monde dit que c’est un bon jeu, mais j’ai fait une demi-partie à Essen alors qu’il y avait trop de bruit, dans une odeur de frites et par animateur qui a oublié une règle essentielle, et je trouve que ce jeu est nul ». :o) Un demi-internet à celui qui trouve de quel jeu il parlait dans cette citation totalement reconstruite de mémoire et récurrente à environ une demi-douzaine de podcasts !

    Ludo Incognito : l’approche centrée sur la personnalité des meeples pour déduire ce qui est du worker placement et ce qui n’en est pas est intéressante. On a bien des populations identifiées, avec Agricola et ses ouvriers indifférenciés et Descent qui a des personnages pas du tout ouvrier. Et une zone de nuance de gris où il devient de plus en plus difficile de savoir si c’est dedans ou pas : Manhattan Project dispose de trois types d’ouvriers sans conscience ; Star Wars Rebellion a des ouvriers très étoffés et d’autres presque anonymes… C’est une grille de lecture qui fait réfléchir.

    Et d’ici là, bon Cannes !
    Tuin

    1. Merci Tuin pour ton soutien sans faille et pour le temps que tu prends à nous donner ton avis ! Je suis très content que « Joueur d’Ailleurs » t’intéresse, j’ai parfois peur de faire du contenu qui ne parle qu’à peu de monde. Mais un enthousiasme comme le tien me conforte finalement dans la ligne que je me suis fixée pour la chronique. J’espère continuer à t’intéresser (pas seulement toi j’espère !).

    2. Merci Tuin pour ton commentaire.
      Et oui tu as raison je n’ai même pas pensé à Galérapagos (auquel je n’ai jamais joué) qui est souvent comparé à Koh Lanta ! Je vous ai induit en erreur sans le vouloir :O Mais au moins ça fait un petit effet de surprise.
      Merci pour ton retour sur les playlists Youtube, je suis ravie que ça vous soit utile, ne serait-ce que pour aller piocher des idées et se faire sa propre Playlist derrière.

    3. Merci @tuin pour ton commentaire sans faille.

      Je m’intéresse volontairement au cœur du placement d’ouvriers mais je suis bien d’accord pour dire que chaque jeu décide de respecter les critères à la lettre ou non. Je vais regarder Star Wars Rebellion de plus près !

  5. Merci Tuin pour ce retour :), c’est toujours un plaisir d’avoir des avis détaillés d’auditeurs.
    C’est dans mon envie avec cette chronique de parler plus de cela, je note avec attention ta remarque pour faire en sorte de mettre encore plus cela en avant sur les suivantes.
    Je trouve que celle sur Pillards est déjà un peu plus sur le ressenti que celle de Scythe ;).

  6. Est-ce que c’était un épisode spécial dédié à l’alcool? Presque toutes les chroniques en parlaient, avec même une comparaison entre jeux et cocktails. Du coup, j’en profite pour recommander le jeu Novembre Rouge dont je parlais en commentaire de l’épisode précédent. Dans ce jeu, on peut boire une bouteille de vodka pour se donner du courage avant d’entrer sans extincteur dans un compartiment en feu du sous-marin. Mais attention ensuite de ne pas sombrer dans le coma éthylique au risque de finir noyé ou brûlé car incapable de fuir.

    Concernant les pseudos écorchés, vu que ddschutz prononce systématiquement le S à la fin de mon pseudo, je me demande pourquoi il ne prononce pas aussi le X à jeux et le S à placement d’ouvriers.

    Concernant justement la chronique de placement d’ouvriers de Ludo Incognito, je ne suis pas sûr qu’ils soient si mal traités. Dans Agricola, ils sont nourris et logés (même si occasionnellement ils doivent mendier, ou accueillir un cochon dans leur maison). Dans Manhattan Project, il peuvent étudier à l’université. Dans Caverna, ils peuvent se forger des armes et aller piller sans risque de représailles. Et pour revenir au thème de l’alcool cher à la Proxi-Team, dans Snowdonia, ils peuvent aller boire au pub, sauf si on les en déloge à coup de charbon. (Bizarrement, le charbon fait sortir les gens des pubs au Pays de Galles.)

    Par contre, il est vrai que dans Walnut Grove, les ouvriers sont victimes de racisme : Les blancs mangent de la viande de mouton (un jeu de mouton!), alors que les jaunes mangent des céréales et les noirs n’ont rien à manger (sans parler des bleus qui n’ont que de l’eau).

    1. @Train-à-aubes Merci pour ton commentaire.

      C’est facile à dire de l’extérieur mais je n’échangerai pas ma place pour celle d’un pion d’Agricola. Pas fou. Et certes dans certains jeux ils évoluent un peu à la marge mais c’est uniquement pour être plus productif pour quelqu’un d’autre. Exploités jusqu’à la moelle.

      Je ne connais pas Walnut Grove, je vais y jeter un œil de ce pas.

      Je point du doigt les différences entre les genres en les accentuant un peu. On peut avoir de l’Ameritrash avec des hordes de bons petits soldats chair-à-canons. Mais dans une échelle de personnalisation/identification je place sommairement : Jeux de rôles > Ameritrash > Placement d’ouvriers > Wargames !

  7. En tout cas, dans la chronique du pionfesseur, j’aime beaucoup l’emploi du féminin systématique (les joueuses.. la gagnante..).

    Par contre, en parlant d’ouvrier, il dit à un moment « .. envoyer Jacques et Micheline au turbin ».
    On échange les genres de ces 2 prénoms et on tombe sur un triste site internet bien connu, héhéhé. « Merci qui ? »

      1. @znokiss Il n’y a pas de mal, je prends ça comme un compliment !

        Pour te répondre : je suis content que tu apprécies l’emploi systématique du féminin. L’idée pour moi était d’être d’abord surpris puis de finir par ne plus y prêter attention. Dans mon cas c’est gagné, c’est déjà ça 🙂

        Pour la deuxième partie de ta réponse, ça ne peut être qu’une affreuse coïncidence et la rédaction se désolidarise de son auteur !

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