Il était une fois dans le petit royaume de Proxi-Jeux… Et oui, toutes les bonnes histoires commencent par ces mots. Alors, chères auditrices, asseyez-vous au coin du feu, prenez une petite couverture et laissez-vous emporter dans les chroniques merveilleuses et de contes de fées que la Proxi-Team vous propose ce mois-ci, narrées par Suisjeux et Polgara.
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Suisjeux et Polgara reviennent sur les commentaires de l’épisode 122, diffusé en décembre 2020.
RAS encore et toujours.
Le Teignard et Meyklar
Meyklar est dans les locaux de Proxi-Jeux… La crise sanitaire a de gros impacts sur son moral !
Plateaux Numériques
Cyrus assouvit sa passion pour le jeu Root grâce à sa tablette.
Les analyses du Pionfesseur
Ce mois-ci, Le Pionfesseur fait un focus sur un genre très particulier du jeu de société : le jeu de rapidité. À quoi cela correspond ? Quels sont les sentiments transmis par ce style ? Les réponses dans cette chronique.
Les jeux cités dans la chronique :
- Dobble
- Time’s Up
- Space Alert
- Magic Maze
- Dr Eureka (et les autres jeux de la même gamme)
- Meeple Circus
- Draw’n’Roll
- Galaxy Trucker
- Imagicien
- Jungle Speed
- Bazar Bizarre
- Cache Tomate
- Face de Bouc
- Set
- Tokyo Train
- Ligretto
- Ricochet Robots
Ludo Parano
Ddschutz s’est enfin enfuit, on le retrouvera s’il survit au blizzard québecois
C'est l'Histoire d'un jeu
Destination Londres en 1666 ! Hammer et Polgara vous proposent un petit voyage dans le Londres de Martin Wallace.
Dans ce jeu où vous incarnez des architectes et urbanistes, vous contribuerez à reconstruire la capitale britannique après le grand incendie, tout en évitant d’augmenter la pauvreté dans la ville. Vous pourrez même être le bâtisseur de la cathédrale Saint Paul !
Ludo Incognito
Chaque mois, l’Acariâtre tente d’examiner sous toutes les coutures une émotion provoquée par le jeu. Ce mois-ci, parce qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même : la connivence !
Le moment de jeu est un moment complice, vécu et partagé par les joueuses seules. Que procure cette complicité et comment la favoriser ?
Accrochez-vous, c’est parti !
Tomber dans le pledge
Dans la chronique de ce mois, Drou et Lana vous donnent des astuces afin de devenir un pledgeur aguerri.
Les notions de pledge manager, late pledge ou pledge groupé n’auront plus de secret pour vous.
Sites évoqués dans cette chronique :
Utopia
Chaque mois, Tuin explore un thème de jeu de société et s’interroge sur ce qui le rend intéressant et particulièrement fréquent dans notre hobby. Pour la troisième chronique d’Utopia, Tuin étudie la place de Lovecraft.
De quelle horreur parle-t-on à propos des nouvelles de Lovecraft ? Comment les tentacules sont devenus un signe de ralliement de geek ? Quel intérêt le bestiaire baroque de Lovecraft revêt pour le jeu de société ?
“Je songe au jour où ces créatures pourraient surgir des flots pour y entraîner dans leurs griffes nauséabondes les restes d’une humanité chétive et épuisée par la guerre – au jour où les terres sombreront, et où le noir fond des océans remontera pour émerger dans un monde livré au chaos universel.” Dagon, Howard Phillips Lovecraft
Ludographie : Cthulhu Dice, Steve Jackson, Steve Jackson Games, 2010; Pandemic: règne de Cthulhu, Leacock & Yager, Zman Games, 2016; Lovecraft Letter, Seiji Kanai, AEG, 2017; Horreur à Arkham 2ème édition, Launius & Wilson, FFG, 2005; Horreur à Arkham JCE, French & Newmann, FFG, 2016; Les demeures de l’épouvante 2ème édition, Valens, FFG, 2016; Le Signe des Anciens, Launius & Wilson, FFG, 2011; L’appel de Cthulhu, Stafford & Willis, Chaosium, 1981; Lovecraftesque, Annison & Fox, Black Armada, 2016; Trail of Cthulhu, Hite, Pelgrane Press, 2008; Cthulhu Dark, Walmsley, Thieves of Time, 2012; Innommable, Boeckle, 2008
Extrait sonore : Welcome to Arkham, Graham Plowman, 2 hours of background horror music for Lovecraftian gaming, 2019
Ceci est un jeu
CargoToaster vous invite à découvrir la nouvelle énigme de « Ceci Est Un Jeu ». Une énigme sonore à base d’extraits musicaux, de répliques de films, de génériques TV etc.. où le but du jeu est de trouver le jeu de société auquel les extraits font référence !
Saurez-vous trouver le jeu en question ?
Pour envoyer votre réponse, c’est ici (date limite : 14 février 2021)
Sources des extraits sonores :
1. Génériques et jingles
2. Ceci est la réponse
La réponse du mois dernier était Inis !
Vous pouvez ici consulter la liste des extraits de cette précédente énigme.
3. L’Énigme du mois
Pour envoyer votre réponse, c’est ici (date limite : 14 février 2021)
- Alain Souchon – J’ai dix ans
- Knock, réalisé par Guy Lefranc, 1950
- Michael Clayton, réalisé par Tony Gilroy, 2007
- Bruno Pelletier – Le Temps des Cathédrales
- Kaamelott – S01E57 : Perceval relance de quinze, par Alexandre Astier
- Kiss kiss, bang bang, réalisé par Shane Black, 2005
- La Maison Tellier – La peste
Salut la Team,
♪ Tata Suzanne forever !!
♪ Aussi belle à l’intérieur qu’à l’extérieur,
♫ A toujours dans mon coeur …
♫ Mais aussi partout ailleurs !
A la prochaine !
Ça fait plaisir d’entendre Tata Suzanne
D’ailleurs hier soir on a fait une soirée Rosenberg et on a bien labouré le champ en jachère avec le Covid ça faisait longtemps.
Bisous
Merci pour la référence de https://www.epopia.com/, https://sousscelles.fr/ et https://www.argyxgames.com/
Jeux de rapidité
Dans beaucoup de jeux, le sablier a été introduit pour éviter l’analysis paralysis. Et parfois, le temps limité change fortement le jeu: les sensations, les qualités mises en oeuvre et du coup la hiérarchie des joueuses.
En poussant le bouchon, la rapidité devient plus centrale. Et là, le jeu introduit des moyens pour en éviter les excès : sanction en cas d’erreur, sanction de la joueuse qui prend trop de cartes (ex: The key).
La rapidité ne nécessite pas forcément la simultanéité. Time’s up est fondamentalement un jeu de rapidité (comme son nom l’indique !). Il s’agit bien de réaliser une meilleure performance que l’équipe adverse avec un temps chronométré. Comme une course contre-la-montre.
Comme Polgara, je trouve que les jeux collaboratifs ne sont pas à exclure.
Un jeu collaboratif est après tout un jeu compétitif entre les joueuses et le jeu. Ils mettent les joueuses dans un état de stress qui est un élément essentiel du gameplay.
Bonjour à tous, et big up à Tata Suzanne !
Encore une chronique très intéressante, aussi ludique et
Tout d’abord, merci pour cet épisode très intéressant de « C’est l’Histoire d’un Jeu », qui va nous permettre de briller en société (enfin, quand on pourra à nouveau s’incruster dans les dîners mondains). Cette histoire a bien titillé ma fibre pyromane ! Prochain épisode sur le grand incendie de Rome ?
Concernant Les Analyses du Pionfesseur, j’aurais bien aimé savoir si j’étais le seul à avoir remarqué que dans mon entourage, le plaisir à jouer à des jeux de rapidité était inversement proportionnel au niveau de jeu des gens ? Je ne connais que peu d’experts (enfin, qui se considèrent comme tels) qui aiment se faire un Times Up ou un Jungle Speed. J’en viendrais presque à dire que les jeux de rapidité sont essentiellement calibrés pour les casuals…
Enfin, rien à redire sur les autres chroniques. Super boulot de documentation, voire de mise en scène ! (je frissonnais en m’imaginant DDSchutz dans le grand froid québécois !)
« Concernant Les Analyses du Pionfesseur, j’aurais bien aimé savoir si j’étais le seul à avoir remarqué que dans mon entourage, le plaisir à jouer à des jeux de rapidité était inversement proportionnel au niveau de jeu des gens ? Je ne connais que peu d’experts (enfin, qui se considèrent comme tels) qui aiment se faire un Times Up ou un Jungle Speed. J’en viendrais presque à dire que les jeux de rapidité sont essentiellement calibrés pour les casuals… »
Je dirais plutôt que beaucoup de gros joueurs considèrent les jeux de rapidité et d’ambiance avec un certain dédain (le fameux « c’est pas un vrai jeu »), mais qu’il s’agit davantage d’un état d’esprit que d’une règle mathématique : je connais un certain nombre de joueurs chevronnés (moi-même inclus) qui s’éclatent autant sur un Fief ou un Pax pamir qu’avec Time’s up ou Le tango de tarentule !
C’est bon à savoir !
Je ne connais pas Fief, ni Pax Pamir, mais ça m’intrigue.
Si je peux ouvrir l’esprit de mes compagnons de jds à ce type de jeu, ce serait une petite victoire personnelle ! ^^
J’aime pas les jeux de rapidité. La moitié du temps, c’est un jeu pas très intéressant, et le stress induit fait qu’on fait des bêtises et que c’est drolatique. Bon…
Et puis, c’est pas compatible avec de l’alcool !
Tomber dans le pledge, c’est une super émission, bien ficelée, bien animée, très documentée.
C’est la classe !
Encore une excellente édition des chroniques, et surtout ‘C’est l’histoire d’un jeu’ qui s’évoque l’histoire de Londres. J’adore cette ville, on y va régulièrement depuis plus de 30 ans. Mais surtout on adore jouer à ‘London’. Il est très bien, même à deux. C’est vraiment sympa d’avoir une meilleure idée du contexte historique quand on joue à ce genre de jeu. Si vous voulez en apprendre un peu plus sur cette époque tout en découvrant une version alternative de l’histoire, je vous recommande le cycle Baroque de Neal Stephenson qui commence par Quicksilver. Il y a nettement plus d’action que dans un roman historique classique, mais l’auteur prend beaucoup de libertés avec l’Histoire. Un conseil: attendez d’avoir fini les bouquins avant d’aller voir ce qui est vrai ou faux dans vos livres d’histoire ou Wikipedia
Pour la chronique du Pionfesseur, on pourrait rajouter la catégorie des jeux de rapidité où on peut se casser un doigt ou se faire arracher la peau par les ongles de l’adversaire, bref les jeux de rapidité dangereux dont Jungle Speed serait l’oeuvre paradigmatique.
Il manque un jeu incontournable du genre: Poule Poule! En en bonus un jeu pour enfants auquel on a fait des dizaines de parties: Sandwich
Sandwich marche aussi pour les adultes et je crois qu’il va être ré-édité prochainement
Une régal cette émission , merci encore !
PS : Vous évoquez de nouveau votre manière de pratiquer l’inclusivite , et ça me gêne un peu cette auto-congratulation sans aucun débat contradictoire.
Voilà mon avis (pour l’instant), mais j’aimerais entendre vos arguments sur ces différents points :
(1) A mon sens, remplacer le masculin par du féminin universel ce n’est pas de l’inclusivite ; au contraire c’est exclusif.
L’inclusivite peut passer par d’autres manières plus subtiles (« on va », « les joueuses et les joueurs », « les personnes autour de la table », « les joueurses », etc. )
(2) Je trouve que passer par une forme impropre (grammaticalement) et disonnante (les chroniqueurses s’emmêlent parfois les pinceaux avec des fautes d’accord ou des retours étranges au masculin) n’est pas une bonne idée, pour 2 raisons :
– (3) D’une part je ne pense pas que cela fasse évoluer les mentalités (car c’est une manière agressive d’amener le féminin).
– (4) D’autre part cela nuit à la compréhension du fond par l’interlocuteur (car le cerveau de l’auditeur est sollicité par autre chose que la compréhension du sujet de fond)
Qu’en pensez-vous ?
Un sujet d’émission pour le Pour et le Contre ? ^^
Salut Alfa,
Le débat est permanent dans l’équipe, et dans la société plus largement. Je pense que c’est notamment le cas parce que nous, les francophones, sommes dans une phase transitoire où (a) la situation précédente ne nous satisfait plus et (b) nous n’avons pas trouvé un nouvel état stable qui soit efficace et satisfaisant pour la majorité des locutrices et locuteurs.
Pour le (1), je suis content de voir que, inversement, ton raisonnement amène à la conclusion que la règle « le masculin l’emporte sur le féminin » est aussi exclusif. Sur ce point, nous sommes (tous les deux) d’accord. La question de la subtilité se pose. Personnellement, je crois que ce débat ne doit pas être subtil (sans être agressif), il faut qu’il émerge et qu’il nous démange pour qu’on le prenne à bras le corps et qu’on le résolve. D’autant plus que l’injonction à la subtilité est culturellement associé à la modestie, au silence et à la docilité qui sont traditionnellement imposés aux femmes… Ce qui me paraît maladroit en ce moment. D’autre part, je ne crois pas qu’aucun d’entre nous utilise de féminin universel. A titre personnel, j’applique : une règle de proximité, de majorité et une alternance féminin/masculin aléatoire. Comme indiqué précédemment, c’est un état transitoire où j’essaie des solutions pour tenter de définir le prochain état stable efficace et satisfaisant.
(2) Nous avons déjà vu précédemment que ce qui est correct grammaticalement est exclusif. Je ne me pose plus la question de la correction grammaticale depuis 1995 où la société civile, des associations et des ministères et agences gouvernementales ont demandé à l’Académie française des règles pour faire évoluer la langue française vers une meilleure représentation de sa population féminine (en particulier pour rendre compte que l’activité professionnelle grandissante des femmes, ainsi que de leur majorité dans certaines branches, comme l’enseignement, la justice et la médecine). Demandes qui ont été ignorées au titre qu’une femme qui écrit des livres est « un auteur » depuis le XVIIe siècle et c’est tout. Et qu’une ambassadrice est une femme d’ambassadeur – accordant un titre à quelqu’un qui n’en a pas mérite et privant celles de plus en plus nombreuses qui avait réussi le concours d’Orient à… une masculinité incongrue. Là encore, nous sommes dans une situation transitoire où ce qui est incorrect grammaticalement l’est parce que les locuteurs changent et veulent changer leur langue identiquement, pas parce qu’ils ignorent les règles – mais parce qu’elles apportent désormais plus de contraintes que de bénéfices.
(3) Le débat est ouvert entre les linguistes et n’est pas aussi tranché que l’opinion que tu exprimes – ni aussi tranché que ce que les activistes voudraient faire croire dans l’autre sens. Là encore, il serait opportun que les gens dont ce n’est pas l’expertise (moi, toi, et surtout l’Académie française) puissent avoir plus facilement accès aux travaux de ces chercheurs.
(4) Question intéressante. La philosphie analytique avance pour sa part que le fond et la forme ne sont pas deux entités disctinctes, mais que le fond et la forme s’influencent l’un l’autre – au point que c’est pour bien des cas la même chose. De manière taquine et primesautière, je soulignerai pour ma part que si le cerveau est sollicité par ce sujet, c’est que (c) j’atteins mon objectif de faire émerger le débat, et (d) la présence du féminin est perçue par habitude comme parasite et dérangeante, ce qu’il convient de faire évoluer, en particulier par un plus fréquent recours à du féminin.
Pour ce qui est d’un véritable débat public de la team dans un pour et contre, je doute pour mon opinion personnelle que l’équipe de Proxi-Jeux présente des arguments suffisamment crédibles ou novateurs par rapport à ce que font les linguistes, c’est-à-dire celles dont c’est la spécialité (et le féminin est ici non pas un féminin universel, mais un féminin de majorité).
[ces éléments n’engagent que moi, aussi respectueusement que je puisse le faire, et de manière transitoire]
Belle journée Alfa !
Merci pour cette réponse que j’avais zappé !
Encore une belle brochette de chroniques très diversifiées, c’est toujours un plaisir !
Concernant l’appel de Cthulhu et le côté « entresoi » des joueurs familiers du thème lovecraftien (qui était probablement très présent au départ mais a complètement disparu aujourd’hui tant on en mange à toutes les sauces), il a sans doute été renforcé par l’adéquation avec le thème : le sentiment d’appartenir au cercle restreint et secret de ‘ceux qui savent’ (comme les pratiquants du jdr d’ailleurs) à l’image des rares humains au courant de l’existence des Horreurs cosmiques.
Je me permets juste deux remarques en regard de la chronique ‘Tombé dans le pledge’ et du retour qui a suivi :
– il est possible d’ajouter des add-ons (extensions, éléments de jeu supplémentaire comme des pièces en métal…) à son niveau de pledge directement pendant une campagne, sans attendre le Pledge Manager, simplement en modifiant la somme qu’on souhaite payer. L’augmentation est prise en compte dans le montant global récolté et permet d’atteindre les paliers des Stretch goals plus rapidement, ce qui n’est pas le cas dans le Pledge Manager puisque la campagne officielle est terminée.
– Il y a une confusion dans la discussion entre Polgara (qui m’aura appris qu’il existe des fans de Klemens Franz, je ne croyais pas ça possible ^^) et Suisjeux entre les termes Stretch goals (les paliers débloqués au fur et à mesure qui amène de nouveaux éléments et des améliorations matérielles aux participants) et niveau de pledge (les différentes offres proposées et leurs contreparties matérielles). Quand on a l’habitude ça passe mais pour des joueurs moins familiers ça peut prêter à confusion.
Vivement la prochaine !
Merci Chips, pour le parallèle que tu tires entre l’appartenance à la culture geek et l’appartenance à un culte secret. C’est un beau parallélisme, en effet !
Bonjour Chips,
Merci pour ton commentaire. Tu as raison, il est possible d’ajouter des add-on en dehors du pledge manager mais on n’est pas fan. On explique pourquoi dans une prochaine chronique
Merci encore pour ces chroniques , heureux d’entendre tata Suzanne de nouveau
Pas de commentaire particulier sur les rubriques , ah si :
– les analyses : j’ai trouvé la categorisation des jeux de rapidité un peu brouillonne, moins objective qu’avant je sais pas … faut que je réécoute
– theme de cthulu : je pense qu’il ne faut pas minimiser l’aspect domaine public, 70ans après la mort de l’auteur. Vous l’évoquez rapidement mais pour moi c’est la raison numéro 1 qui explique le foisonnement de jeux autour de ce thème ( et de Sherlock Holmes aussi par exemple). On peut compter le nb de jeux sortis avant et après 2007 pour s’en rendre compte …